Laurent de Villiers - Image illustrant une interview d'Europe 1, le 17 décembre 2010.
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Le fils cadet du député européen Philippe de Villiers, Laurent de Villiers, continue le combat. Il a saisi le 21 décembre la Cour de cassation à la suite du non-lieu rendu le 17 décembre en faveur de son frère, Guillaume de Villiers, par la chambre d'instruction de Versailles. Il avait porté plainte en 2006 contre son frère aîné Guillaume pour des viols commis sur sa personne entre janvier 1995 et décembre 1996. Ce dernier, marié et père de trois enfants, a toujours nié les accusations d'inceste de son frère.
Vivant actuellement aux Etats-Unis avec sa femme et sa fille, Laurent de Villiers considère l'arrêt rendu à Versailles comme injuste. Son avocat, maître Jean-Marc Fedida, ajoute dans Le Parisien/Aujourd'hui en France : "La chambre d'instruction a rendu un préjugement, elle n'avait pas à faire un procès avant le procès d'assises." Il faudra attendre une dizaine de mois avant que la Cour de cassation ne rende sa décision.
L'avocat de Guillaume de Villiers se félicitait, quant à lui, avec ce non lieu, que "l'innocence de son client était définitivement reconnue par la justice", indique Le Parisien/Aujourd'hui en France. Philippe de Villiers, qui se dit brisé à vie par cette affaire, estime que le récit poignant publié dans la presse par son fils Laurent n'est qu'une invention destinée à se venger d'un père qui lui avait ordonné de gagner sa vie seul.
Vivant actuellement aux Etats-Unis avec sa femme et sa fille, Laurent de Villiers considère l'arrêt rendu à Versailles comme injuste. Son avocat, maître Jean-Marc Fedida, ajoute dans Le Parisien/Aujourd'hui en France : "La chambre d'instruction a rendu un préjugement, elle n'avait pas à faire un procès avant le procès d'assises." Il faudra attendre une dizaine de mois avant que la Cour de cassation ne rende sa décision.
L'avocat de Guillaume de Villiers se félicitait, quant à lui, avec ce non lieu, que "l'innocence de son client était définitivement reconnue par la justice", indique Le Parisien/Aujourd'hui en France. Philippe de Villiers, qui se dit brisé à vie par cette affaire, estime que le récit poignant publié dans la presse par son fils Laurent n'est qu'une invention destinée à se venger d'un père qui lui avait ordonné de gagner sa vie seul.