Plus rien n'arrête Dimitri Rassam ! Cette année, l'ex-compagnon de Charlotte Casiraghi a eu le mérite de ravir le cinéphiles en produisant Le Comte de Monte-Cristo, un long-métrage brillamment porté par Pierre Niney qui a dépassé les 9 millions d’entrées en France. On lui doit aussi Les Trois mousquetaires, dévoilé au cinéma en 2023. Malgré ces succès, hors de question pour l'heureux papa de deux enfants de se reposer sur ses lauriers. Et pour cause, le fils de Carole Bouquet va prochainement s'attaquer aux Rois maudits de l’écrivain Maurice Druon. "Ma conviction, c’est qu’il y a un trésor d’histoires dans le patrimoine européen, et qu’on peut les raconter depuis l’Europe", a t-il notamment expliqué ce mardi 17 décembre dans les colonnes du Figaro. En parallèle, Dimitri Rassam a également lancé Yapluka, un fonds européen de financement qui lui permettra de mener à bien cet énième tournage.
Etant sur tous les fronts en tant que producteur, l'ex-beau-fils de Caroline de Monaco s'est également engagé avec un autre projet tout aussi ambitieux qui s'orchestrera en plein milieu du désert marocain comme l'a rapporté Paris Match ce jeudi 19 décembre 2024. Cette fois-ci, l'actualité de l'Afghanistan a été mise à l'honneur dans un bouleversant film de Martin Bourboulon intitulé 13 jours, 13 nuits qui retrace "la prise éclair de Kaboul par les talibans le 15 août 2021". Malheureusement après cet événement historique, le pays a littéralement replongé "dans l'obscurantisme". "C'est du cinéma, mais plus que ça", a expliqué Dimitri Rassam. "Nous avions tous ce besoin viscéral de traduire le déchirement vécu par des milliers de gens soudain arrachés à leur vie".
Soucieux du moindre détail, Martin Bourboulon a d'ailleurs souhaité que tout soit "immédiatement vraisemblable" pour mettre en boite cette fiction prévue pour 2025 et dans laquelle joue Roschdy Zem. "De la couleur patinée d'un costume aux plaques d'immatriculation d'origine, jusqu'à la longueur des barbes qui ont suscité 2000 mails", a rapporté le scénariste, non sans humour. En plus des 500 figurants marocains, de vrais Afghans ont également été embauchés.
Mais difficile pour eux d'endosser le rôle des talibans, principaux responsables de leur malheur. "Jouer leurs propres bourreaux leur semblait terrifiant", a souligné le compagnon de Sarah Poniatowski, qui a pris le temps d'échanger avec eux entre différentes prises. "Il y en a un qui a marché des semaines pour leur échapper, un autre porte dans le dos les balafres qu'ils y ont creusées. Ce sont des parcours qui forcent le respect". De bouleversantes confidences...