Léa Salamé aurait peut-être mieux fait d'y réfléchir à deux fois avant d'affubler son chéri d'un commentaire ironique, car le second degré n'est pas un sens universellement répandu... Le 8 mai 2020, la journaliste franco-libanaise de 40 ans a décidé de donner à son compagnon Raphaël Glucksmann un nouveau petit nom, pour le moins sarcastique. En légende d'une photographie où l'on découvre l'essayiste sur un Vélib dans les rues de la capitale, Léa a simplement décrit son compagnon avec les mots "sale bobo". Une petite réflexion taquine qui a provoqué de nombreuses réactions sur le compte Instagram de la jeune femme, suivi par plus de 23 000 abonnés.
Pourquoi sale bobo ??
Si certains followers rient de la blague de Léa et en profitent pour taquiner son compagnon ("Les Stan + velib combo gagnant", "Pfff même pas un vélo électrique... un faux sale bobo"), d'autres ne comprennent pas la blague de la co-animatrice du 7/9 de France Inter et n'hésitent pas à la clasher. "Pourquoi sale bobo ??", "Ça ne se dit pas", "C'est le tien et tu l'es aussi", "Bobo peut-être mais pas collabo du pouvoir comme les journalistes", peut-on lire dans les commentaires de la publication. Une blague qui n'a clairement pas remporté tous les suffrages sur les réseaux sociaux.
Maman d'un petit garçon prénommé Gabriel né le 12 mars 2017 (fruit de ses amours avec Raphaël), la journaliste est également confinée avec le fils aîné de son compagnon, Alexandre (7 ans), issu de son ex-union avec la politicienne ukrainienne et géorgienne Eka Zgouladze.