C'est une maman rayonnante, sensuelle comme jamais, qui s'affiche en couverture de Madame Figaro (supplément des 27 et 28 juillet 2018). Leïla Bekhti se confie sur son nouveau quotidien, entre carrière et maternité, depuis l'arrivée de Souleymane en 2017. Et au détour de quelques traits de son portrait, elle affiche ses convictions. On apprend ainsi que son fils sera "interdit d'iPad jusqu'à l'âge de 18 ans" et qu'elle compte transmettre les valeurs qui l'ont façonnée.
On apprend également qu'elle compte bien emmener Souleymane sur les terres de ses origines, dès cet été, à Sibi Bel Abbès en Algérie. "Quand tu sais d'où tu viens, tu sais où tu vas", lâche la jeune maman, convaincue. Il faut dire que la maternité a complètement changé sa vie. "Jamais elle ne serait crue capable d'autant d'amour", lit-on dans Madame Figaro. "C'est ce que j'ai fait de plus fou", assure la star qui a aussi pris 26 kilos pendant sa grossesse et a aujourd'hui tout perdu. Ça aussi, c'est fou.
Maman épanouie, Leïla Bekhti l'est aussi au cinéma où elle enchaîne les projets captivants et intrigants. Le 24 octobre, elle jouera une coach handicapée acariâtre qui mène la vie dure à un groupe de nageurs synchronisés. Le 7 novembre, elle sera face à Fabrice Luchini dans Un homme pressé, où elle incarnera une jeune orthophoniste chargée de faire recouvrer parole et mémoire à un homme victime d'un accident cérébral. En 2019, elle sera sûrement à l'affiche de Terminal sud, un drame avec Ramzy Bédia, puis sous la direction de Michel Leclerc avec La Lutte des classes, et enfin le très attendu Chanson douce, adaptation du roman de Leïla Slimani, prix Goncourt 2016, avec Karin Viard et Antoine Reinartz.