Convoquée une nouvelle fois devant la juge américaine Stephanie Sautner, qui ne lâche rien sur le respect de la probation de Lindsay Lohan, la starlette est ressortie de l'audience préliminaire, menottes aux poignets !
Lindsay devait bien se douter qu'une telle éventualité lui pendait au nez. A neuf reprises, elle ne s'était pas présentée au centre social pour femmes où elle devait effectuer ses 480 heures de travaux d'intérêt général, suite à sa condamnation pour le vol d'un collier, en janvier 2011. Elle avait écopé également de 120 jours de prison que la justice californienne lui avait autorisé à purger à son domicile.
"C'est violation sur violation, la liberté conditionnelle est un don. C'est un don, pas un droit !", a asséné la juge. L'avocate de Lindsay, Maître Shawn Holley, a tenté de défendre sa cliente en prouvant qu'elle s'était bien présentée au centre social, preuve de sa volonté, mais la juge a souligné qu'elle n'était, le plus souvent, restée qu'une heure au lieu des quatre minimum requises.
Pour bien lui faire comprendre, la Cour supérieure de Los Angeles a donc révoqué sa mise à l'épreuve. Lindsay a pu repartir néanmoins libre, après le versement d'une caution de 100 000 dollars. Elle est de nouveau convoquée le 2 novembre prochain devant la justice mais d'ici-là, elle a l'obligation d'effectuer seize heures de travaux d'intérêt général à la morgue centrale de Los Angeles.
La lente descente aux enfers se poursuit pour celle qui avait un avenir de star devant elle, au sortir de son adolescence...