"Kinésithérapeute, Prof en thérapie manuelle, j'aime comprendre le corps humain et raconter sans prise de tête", voilà comment Major Mouvement se présente sur sa chaîne YouTube. Cette année, il fait partie des deux vidéastes à rejoindre l'équipe de la nouvelle émission de Michel Cymes : Antidote. Il animera l'une des quatre chroniques du programme de France 2 et devrait ainsi se concentrer sur son domaine de prédilection : la kinésithérapie.
De son vrai nom Grégoire Gibault, ce youtubeur est aussi kiné libéral et s'amuse à vulgariser sa science afin de la rendre accessible à tous. Mal de dos, gainage, lombaires, tendinite, scoliose, hanches... Major Mouvement passe en revue tous les points concernants de son métier. Un savoir-faire qui a déjà offert à cet ancien praticien un passage dans Quotidien (TMC) et dans le JT de 20h00 Laurent Delahousse, sur France 2.
"Devant Laurent Delahousse qui est le giga beau-gosse, qui a interviewé Obama. Toi t'es Grégoire qui va te parler de mal de dos au télétravail", reconnaissait le youtubeur dans une vidéo publiée en novembre dernier. Manifestement amusé par la télévision, il s'apprête ainsi à renouveler l'expérience de manière plus récurrente.
Après deux années passées sur YouTube, 300 000 abonnés et un livre, 10 Clés pour un corps en bonne santé (Ed. Marabout), Grégoire Gibault est un peu devenu le visage de la kinésithérapie. Il a donc tout à fait sa place dans l'émission de Michel Cymes.
Major Mouvement ne sera pas le seul youtubeur à faire partie de l'équipe du médecin du Paf. Fabien Olicard, célèbre mentaliste, sera également chroniqueur dans l'émission. "Tout sera prouvé scientifiquement, soit par des expériences sur le plateau ou en reportage, soit par des données scientifiques, et on fera tout dans la bonne humeur. On donnera aussi des remèdes de grands-mères, qui partent souvent de choses qui ne sont pas idiotes. Je suis opposé au charlatanisme mais sinon je ne suis opposé à rien ! Je suis aujourd'hui beaucoup plus ouvert à ce qu'on appelle les médecines complémentaires et non plus parallèles", avait plaidé Michel Cymes au micro de Sud Radio, le 9 janvier dernier.