Marie Portolano horrifiée après avoir vu la vidéo d'un bébé assassiné : elle prend une décision radicale

Depuis le drame qui s'est déroulé le 7 octobre en Israël, de nombreuses images ont été partagées sur les réseaux sociaux, en particulier sur Twitter où la violence et l'horreur des vidéos font froid dans le dos. Ce 13 octobre 2023, Marie Portolano a été témoin d'images insoutenables qui l'ont poussée à quitter définitivement X (anciennement Twitter). Sous le choc, elle écrit : "Je ne voulais pas voir. Mais j'ai vu malgré moi passer ici une photo d'un bébé tué par les terroristes ce week-end. Cette photo m'a donné envie de mourir. Et c'est la raison pour laquelle je quitte Twitter aujourd'hui. Bon courage à nos enfants pour réparer tout ce qu'on a fait." (Son post a depuis été supprimé tout comme son compte).

"Il faut rester au contraire @marieportolano et dénoncer de manière encore plus prégnante ces atrocités et forcer X et son Boss à appliquer les règles de décence. Bravo néanmoins pour votre démarche.", "Oui, moi aussi ça m'est arrivé.", "Le responsabilité des réseaux sociaux qui nous "imposent" ces images est, à mon avis, engagée. Ou devrait l'être, à un moment donné...", "Comme vous avez raison.", "Vous avez absolument raison. Bonne route", ont commenté plusieurs internautes suite à la publication de la journaliste.

Relevons-nous

Depuis l'attaque terroriste du Hamas, de nombreuses personnalités ont réagi dont Géraldine Nakache qui a souhaité prendre la parole, en prenant garde à ne prendre aucun parti. Elle a partagé un écran noir avec écrit, en simples chiffres blancs, la date fatidique du 7 octobre 2023. "J'ai peur. J'ai peur quand je parle. J'ai peur quand je me tais. Ça voudrait dire que tout cela fonctionne. On a peur. Relevons-nous. On doit avoir mal mais on ne doit pas avoir peur. Aux victimes. Aux familles. A ceux qui souffrent. A ceux qui espèrent et qui croient. N'ayons plus peur" a-t-elle écrit en légende.

"Je pleure tous les jours depuis samedi. J'ai du mal à m'exprimer, j'ai du mal à travailler. J'ai du mal à passer mes journées normalement, a également confié Tomer Sisley sur BFMTV. Si je suis là aujourd'hui, c'est parce que je vois bien que tout le monde n'est pas forcément d'accord avec ce qu'il se passe, et j'entends certaines personnes qui essaient de justifier... Je voudrais qu'on cesse de faire des amalgames." Un événement traumatisant à travers le monde.