Mary-Kate et Ashley Olsen étaient les ambassadrices du gala de charité Free Arts NYC, à New York, ce vendredi 14 mai.© Angeli
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Hier soir, se déroulait à New York la 11e soirée Free Arts NYC organisée par l'association, avec l'appui du magazine Vanity Fair. Les maîtresses de cérémonie n'étaient pas de pures inconnues pour cette soirée de charité dont le but était, bien entendu, de réunir un maximum de fonds pour aider l'association à mener ses actions... Ce sont Mary-Kate et Ashley Olsen, les jumelles révélées à la fin des années 80 par la série La Fête à la Maison (elles avaient, à l'époque, moins d'un an !) qui ont accepté de s'unir pour la bonne cause.
Un gala de charité, dont l'entrée était tout de même facturée quelque 1 500 dollars par couple. Pour cette somme, en plus d'assister et de contribuer à la vente aux enchères, les convives se voient offrir un cocktail...
L'argent récolté au cours de cette soirée servira à aider les enfants défavorisés de New York à développer leurs penchants artistiques. Une cause que les jumelles Olsen ne peuvent qu'approuver.
Si Mary-Kate était merveilleusement habillée par Givenchy, arborant un ensemble d'une grande classe, sa soeur - de 2 minutes son aînée - avait opté pour une robe signée Yohji Yamamoto, accompagnée de jolies sandales dessinées par Robert Clergerie et des bijoux Van Cleef.
Les "MKA", comme on les appelle outre-Atlantique, sont devenues de vraies jet-setteuses : pour elles, le cinéma, c'est de l'histoire ancienne. Désormais, c'est en businesswomen qu'elles se comportent !
JO
Un gala de charité, dont l'entrée était tout de même facturée quelque 1 500 dollars par couple. Pour cette somme, en plus d'assister et de contribuer à la vente aux enchères, les convives se voient offrir un cocktail...
L'argent récolté au cours de cette soirée servira à aider les enfants défavorisés de New York à développer leurs penchants artistiques. Une cause que les jumelles Olsen ne peuvent qu'approuver.
Si Mary-Kate était merveilleusement habillée par Givenchy, arborant un ensemble d'une grande classe, sa soeur - de 2 minutes son aînée - avait opté pour une robe signée Yohji Yamamoto, accompagnée de jolies sandales dessinées par Robert Clergerie et des bijoux Van Cleef.
Les "MKA", comme on les appelle outre-Atlantique, sont devenues de vraies jet-setteuses : pour elles, le cinéma, c'est de l'histoire ancienne. Désormais, c'est en businesswomen qu'elles se comportent !
JO