Mazarine Pingeot© Angeli
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L'année 2010 continue de plus belle pour Mazarine Pingeot. Après avoir donné naissance à son troisième enfant, Marie, en janvier, la fille de François Mitterrand publie un nouveau livre sobremement intitulé Mara (éditions Julliard), du nom de son héroïne.
Dans le magazine Elle, Mazarine raconte pourquoi elle a choisi de baptiser son enfant de ce prénom dont la symbolique est importante. En effet, la revue précise que ce prénom était utilisé pour cacher sa véritable identité, celle de fille cachée du chef de l'Etat. Dans des mémoires passionnants, l'ancien homme chargé de sa sécurité raconte les dessous de cette vie particulière.
Toutefois, Mazarine a nommé son bébé Marie pour d'autres raisons : "Nous [le réalisateur Mohamed Ulad-Mohand, d'origine marocaine et elle] sommes un couple mixte, il nous fallait trouver des prénoms oecuméniques. Mes deux premiers enfants, Astor et Tara, ont des prénoms forts et originaux. Je voulais quelque chose de plus classique. Pour moi, Marie reste le plus joli prénom du monde, qui traverse les âges, les continents, les religions."
Avec ce prénom transcendant toutes les civilisations, Marie ne laisse pourtant pas en paix sa mère : "Je n'ai qu'une seule angoisse en ce moment, qu'elle crie pendant les interviews, car, l'allaitant, je l'emmène partout."
Mère épanouie avec une touche d'anxiété naturelle, Mazarine est une auteure audacieuse qui aborde avec son dernier ouvrage une histoire d'amour incestueuse : "Ce n'est pas vraiment un livre sur l'inceste, que je traite plutôt légèrement, sans le côté crapuleux. C'est plutôt un prétexte pour parler d'une passion fusionnelle et de la quête des origines." Son livre fait également écho à sa propre existence : "Je pense aussi, comme Mara, que, lorsqu'on se réapproprie sa propre histoire, on n'est plus l'objet du regard des autres."
Dans le magazine Elle, Mazarine raconte pourquoi elle a choisi de baptiser son enfant de ce prénom dont la symbolique est importante. En effet, la revue précise que ce prénom était utilisé pour cacher sa véritable identité, celle de fille cachée du chef de l'Etat. Dans des mémoires passionnants, l'ancien homme chargé de sa sécurité raconte les dessous de cette vie particulière.
Toutefois, Mazarine a nommé son bébé Marie pour d'autres raisons : "Nous [le réalisateur Mohamed Ulad-Mohand, d'origine marocaine et elle] sommes un couple mixte, il nous fallait trouver des prénoms oecuméniques. Mes deux premiers enfants, Astor et Tara, ont des prénoms forts et originaux. Je voulais quelque chose de plus classique. Pour moi, Marie reste le plus joli prénom du monde, qui traverse les âges, les continents, les religions."
Avec ce prénom transcendant toutes les civilisations, Marie ne laisse pourtant pas en paix sa mère : "Je n'ai qu'une seule angoisse en ce moment, qu'elle crie pendant les interviews, car, l'allaitant, je l'emmène partout."
Mère épanouie avec une touche d'anxiété naturelle, Mazarine est une auteure audacieuse qui aborde avec son dernier ouvrage une histoire d'amour incestueuse : "Ce n'est pas vraiment un livre sur l'inceste, que je traite plutôt légèrement, sans le côté crapuleux. C'est plutôt un prétexte pour parler d'une passion fusionnelle et de la quête des origines." Son livre fait également écho à sa propre existence : "Je pense aussi, comme Mara, que, lorsqu'on se réapproprie sa propre histoire, on n'est plus l'objet du regard des autres."