Après avoir mis le feu aux poudres, Le Journal du Dimanche revient à la charge, ce 18 décembre, avec de nouvelles révélations sur Michel Polnareff . Mais l'amiral, qui a frôlé la mort selon son médecin et son entourage, ne laisse pas intimider.
Nos confrères ont écrit que l'artiste a trouvé refuge dans un palace en région parisienne après être sorti de l'hôpital jeudi 15 décembre : "Peu après [son arrivée], l'artiste a gagné seul le bar de l'hôtel. Le portable rivé à l'oreille, il n'a quitté les lieux qu'après minuit, pour gagner sa suite dans l'un des étages de l'établissement. Vendredi soir, il a de nouveau été aperçu au bar, buvant du champagne et dans une attitude peu conforme à la description inquiétante livrée par son entourage." Cette "attitude peu conforme", Michel Polnareff l'assume totalement...
Dans une séries de tweets, le chanteur a répondu à l'hebdomadaire du dimanche : "Eh oui, j'ai fêté ma sortie de l'hôpital et mon début de convalescence avec une coupe, quel problème ? Quand on comprendra une fois pour toutes que l'alcool ne peut pas déclencher une embolie pulmonaire !" Et l'interprète de Lettre à France d'ajouter, comme une évidence : "Quand on a failli mourir..."
Le chanteur a également évoqué l'un des deux concerts qu'il a été contraint d'annuler, celui de la salle Pleyel, le 2 décembre. Michel Polnareff confirme les dires de son attaché presse et agent, Fabien Lecoeuvre. Il affirme qu'il voulait absolument jouer dans cette salle et avait, pour preuve, demandé à modifier spécialement son entrée sur scène.
Encore une fois, c'est la parole de l'un contre celle de l'autre. À croire le JDD, le producteur Gilbert Coullier n'aurait pour l'instant eu accès qu'à un dossier médical incomplet de Michel Polnareff. "Ainsi, aucune IRM, ni angiographie, aucun scanner thoracique ni radio pulmonaire (seuls examens susceptibles d'attester l'existence d'une embolie) n'ont été versés." Le clan du producteur aurait de fait renouvelé sa demande.