

Deux ans après leur séparation suivie d'un divorce après 18 ans de vie commune, Monica Bellucci et Vincent Cassel ont refait leur vie chacun de leur côté. Ce qui ne les empêche pas d'être toujours très proches, ne serait-ce que pour le fruit de leur amour que sont leurs filles Deva et Léonie. "Je crois que lorsque vous avez partagé de belles années avec une personne et que vous avez eu des enfants, il est important que ces magnifiques moments restent pour toujours de bons souvenirs, assure l'icône italienne âgée de 51 ans à Gala. Vincent est le père de mes filles et j'éprouverai toujours du respect pour lui. Il faut simplement accepter que dans la vie, il y a un début, un milieu et une fin."
Désormais, Vincent Cassel passe le plus clair de son temps au Brésil lorsqu'il n'est pas en tournage, et Monica Bellucci a choisi Paris pour élever ses filles. "Je suis italienne, mon passeport est italien, mais il y a quelque chose en moi qui est plus fort que tout : mon amour pour la France", explique la star. Libre et indépendante, la sublime Monica mène sa vie comme elle l'entend. Et surtout, à l'abri des regards. Car si la question de Gala concernant "celui qui réussit à vous surprendre et à vous faire rire" laisse entendre que l'Italienne n'est peut-être plus si célibataire que cela, l'intéressée ferme les portes de son jardin secret. "Parce que je suis une mère, je préfère ne pas évoquer ma vie privée", lâche l'actrice. Un propos similaire à celui tenu par la star au mensuel Lui, à qui elle offre sa plastique en couverture, mais sûrement pas ses secrets les plus intimes.
Épanouie, Monica Bellucci croque la vie à pleines dents. Même à 50 ans. "Ce n'est parce qu'une femme ne peut plus procréer qu'elle doit être mise de côté dans notre société", clame celle que l'on retrouvera prochainement à l'affiche de Ville-Marie, un film québécois de Guy Edoin. Elle est pour l'heure en promotion du nouveau James Bond, Spectre, et on a pu la voir une nouvelle fois sublime à Mexico pour une avant-première le 2 novembre.
Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le magazine Gala du 4 novembre