Mort de Whitney Houston : Bobby Brown dément être à l'origine de sa disparition

Il est accusé de tous les maux, d'être à l'origine de la mort de son ex-femme Whitney Houston, disparue tragiquement le 11 février dernier.

Bobby Brown avait pourtant quitté sa tournée pour rejoindre sa fille et tenter de lui apporter toute son aide dans cette terrible épreuve. Peine perdue, malgré toute sa bonne volonté, l'homme avait réussi à se brouiller avec son ancienne belle-famille. Son image, déjà bien ternie auprès des fans, n'en était ressortie que plus sombre encore.

Mais Bobby Brown a décidé de faire amende honorable en donnant une interview dans la célèbre émission Today Show de MSNBC. Son but ? Démentir les rumeurs selon lesquelles il serait à l'origine de l'addiction de Whitney Houston aux narcotiques. Des substances qui seraient directement à l'origine de la mort de la diva selon le rapport d'autopsie macabre révélé par le bureau du coroner.

Petites lunettes à montures noires, pull col en v rose et chemise à carreaux du même ton, le sulfureux producteur et chanteur apparaît calme et posé, quelques jours après son procès pour conduite en état d'ivresse. Et son propos est clair : il n'y est pour rien dans l'addiction de son ex-femme.

"Je n'avais jamais pris de stupéfiants avant de rencontrer Whitney... J'avais fumé de l'herbe et bu de la bière... Mais non, je ne suis pas celui qui a amené Whitney à prendre des stupéfiants... Je ne suis pas la raison pour laquelle elle nous a quittés", a-t-il ainsi confié. "Cela faisait partie de sa vie avant que nous soyons ensemble", a-t-il ajouté. Par stupéfiants, Bobby Brow entend drogues dures, semble-t-il... Et il reconnaît qu'il était au courant que Whitney Houston était retombée dans ses travers destructeurs et qu'elle se battait contre ses addictions.

Aujourd'hui, Bobby Brown tente tant bien que mal de renouer le contact avec sa fille Bobbi, unique héritière de la fortune de sa mère et qui chercherait à changer de nom pour ne plus avoir de liens avec ce père, visiblement devenu trop encombrant...

Un entretien à retrouver sur le site de MSNBC