Nabilla continue son incroyable tournée promotionnelle et médiatique pour son autobiographie, Trop vite (Robert Laffont). Et ce matin elle était dans le Grand 8 sur D8. Face à l'animatrice Laurence Ferrari et ses chroniqueuses Roselyne Bachelot, Élisabeth Bost, Aïda Touihri et la future maman Hapsatou Sy, la jeune femme de 24 ans a évoqué deux moments terribles de sa vie.
Longtemps moquée, voire détestée dans les médias, Nabilla raconte avoir consacré tout un chapitre de son livre à ce qu'elle appelle le "Nabilla Bashing". Car qu'on se le dise, l'ex-bimbo, star des Anges de la télé-réalité, a beaucoup souffert de certains propos et articles parus dans la presse. "C'est une chose qui m'a traumatisée. (...) Parfois, je me retrouvais dans ma chambre, des journées entière à pleurer parce que j'étais seule, très peu entourée de ma famille et j'avais des gens qui m'insultaient ouvertement, qui étaient médiatisés et qui faisaient des gros titres horribles avec des mots comme 'salope', 'imbécile'. J'avais 20 ans et je ne voulais pas tout ça", a-t-elle expliqué. Pire encore, elle a révélé avoir aussi souffert de voir des journalistes imprimer ses casiers judiciaires et inventer de fausses informations sur elle afin de la faire "passer pour un monstre".
Autre sujet sensible abordé dans Le Grand 8, son père, avec qui Nabilla a vécu jusqu'à ses 13 ans dans un climat très conflictuel. Parfois en manque de cet homme, la starlette écrit dans son livre s'être fait passer pour une journaliste afin de l'appeler et savoir s'il l'aimait encore. En outre, comme elle l'a avoué à Aïda Touihri, elle a refusé qu'il vienne lui rendre visite en prison. "Je n'ai pas voulu qu'il vienne car je ne voulais pas le revoir dans de telles circonstances. Je pourrai aller vers lui quand j'aurai fini mon évolution et que je serai tranquille dans ma tête. Quand je serai solide et construite. Aujourd'hui, je suis encore trop fragile et j'ai encore peur de son jugement", a-t-elle déclaré avant de lui faire passer un message très tendre : "Je veux lui dire que je l'aime."
Cette interview intervient quelques heures avant le grand retour de Nabilla dans Touche pas à mon poste où elle a travaillé en tant que chroniqueuse. Un come-back qui l'émeut beaucoup comme elle l'a souligné sur son compte Twitter.