Depuis son apparition dimanche dans Sept à Huit sur TF1, Nabilla est partout et accorde de nombreuses interviews. Après un long entretien pour Gala, la bimbo repentie était l'invitée de Marc-Olivier Fogiel sur RTL - un entretien à écouter en intégralité sur le site de la station.
Nous étions désespérés
La star de télé-réalité, qui fait actuellement la promotion de son autobiographie, Trop vite (Robert Laffont), est longuement revenue sur la nuit du drame où, dans un moment "de crise de nerfs", elle a poignardé son compagnon. "C'était vraiment du désespoir car ça s'est passé hyper vite. À cette période nous étions désespérés, livrés à nous-mêmes et tous les gens nous tapaient dessus en disant qu'on était des tyrans", déclare-t-elle. Dans ce contexte particulier, l'impensable est donc arrivé : "J'ai voulu lui faire peur, il s'est avancé, il m'a pris la main et ça a été hyper vite."
Osant une note d'humour en disant qu'elle "n'était pas non plus une Chucky à vouloir tuer des gens", Nabilla a ensuite expliqué, une fois encore, la raison de ce coup de folie. "Thomas est jaloux et protecteur, il devenait fou parce qu'on ne parlait que de mes seins, de mes fesses et qu'on me faisait passer pour une abrutie", confesse-t-elle.
Il faut me donner une autre chance
Ajoutant qu'elle ne veut pas, à force de livrer "sa version" des faits à la presse, que la justice croie qu'elle la nargue, l'ex-chroniqueuse de Touche pas à mon poste avoue avoir été totalement dépassée par cet événement. "En 24h j'étais sur le plateau de TPMP, je présentais ma chronique, il y avait Mimie Mathy en face de moi et le lendemain il y avait une grille en face de moi", résume-t-elle.
Déclarant se "sentir mieux" et "plus libre", Nabilla a profité de cet entretien pour répondre aux détracteurs qui associent son interview à Sept à Huit à un coup média orchestré par ses avocats : "Ils ne voulaient pas que je le fasse, j'écoute que mon coeur et non pas Pierre, Paul ou Jacques."
Sereine pour son procès qui aura lieu le 19 mai prochain, Nabilla estime s'être conduite suffisamment correctement et être restée assez discrète pour espérer la clémence des magistrats. "J'ai envie de leur dire que je suis différente, qu'il faut me donner une autre chance", conclut-elle.