Nicolas Bedos dédicace son livre à la Fnac Montparnasse à Paris, le 23 janvier 2014.© BestImage
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C'est ce vendredi 14 février, jour de St-Valentin, que Nicolas Bedos comparaissait devant le tribunal correctionnel de Paris. Visé par trois chefs d'accusation - conduite en état d'ébriété, outrage et menace de mort à l'encontre d'agents des forces de l'ordre - l'écrivain, chroniqueur et dramaturge a écopé d'une peine de trois mois de prison avec sursis assortie d'une amende de 800 euros. Il devra également s'acquitter de 750 euros de dommages et intérêts aux fonctionnaires de police, et de 300 euros correspondant aux frais de justice.
Les policiers ont notamment évoqué les fameuses insultes dont ils ont fait l'objet : Nicolas Bedos aurait, selon eux, qualifié leur métier de "boulot de merde". Et ajoutant à destination de l'un d'eux : "Je te retrouverai et je te tuerai." Un comportement jugé "inadmissible" et des propos qualifiés de "détestables" par la représentante du parquet.
Pour rappel, celui qui officie depuis septembre 2013 dans l'émission de Laurent Ruquier On n'est pas couché, était arrêté dans la nuit du 24 septembre dernier, sur son scooter, avant de s'effondrer au milieu de la chaussée, dans la rue du Croissant (Paris 2e). Une chute sans gravité, mais qui a poussé les policiers présents dans le quartier à effectuer un contrôle d'alcoolémie sur l'impertinent chroniqueur.
Contrôlé avec un taux de 1,66 g d'alcool par litre de sang, Nicolas Bedos a, selon une source policière citée par l'AFP, "insulté tout le monde" avant d'être interpellé et placé en cellule de dégrisement tôt ce matin-là, dans le cadre de sa garde à vue. Il était remis en liberté le lendemain en fin d'après-midi.
En janvier 2011, sur l'antenne de Canal+, Nicolas Bedos avait évoqué un premier passage en cellule de dégrisement, qualifiant alors les policiers qui l'avaient interpellé d'"odieux, abrutis, voyous en uniforme, racailles tombées du bon côté, au QI d'un poulpe mort". Pour ces propos, il avait été condamné en juillet 2012 à 2 000 euros d'amende par le tribunal correctionnel de Paris, pour "insultes publiques".
Joachim Ohnona
Les policiers ont notamment évoqué les fameuses insultes dont ils ont fait l'objet : Nicolas Bedos aurait, selon eux, qualifié leur métier de "boulot de merde". Et ajoutant à destination de l'un d'eux : "Je te retrouverai et je te tuerai." Un comportement jugé "inadmissible" et des propos qualifiés de "détestables" par la représentante du parquet.
Pour rappel, celui qui officie depuis septembre 2013 dans l'émission de Laurent Ruquier On n'est pas couché, était arrêté dans la nuit du 24 septembre dernier, sur son scooter, avant de s'effondrer au milieu de la chaussée, dans la rue du Croissant (Paris 2e). Une chute sans gravité, mais qui a poussé les policiers présents dans le quartier à effectuer un contrôle d'alcoolémie sur l'impertinent chroniqueur.
Contrôlé avec un taux de 1,66 g d'alcool par litre de sang, Nicolas Bedos a, selon une source policière citée par l'AFP, "insulté tout le monde" avant d'être interpellé et placé en cellule de dégrisement tôt ce matin-là, dans le cadre de sa garde à vue. Il était remis en liberté le lendemain en fin d'après-midi.
En janvier 2011, sur l'antenne de Canal+, Nicolas Bedos avait évoqué un premier passage en cellule de dégrisement, qualifiant alors les policiers qui l'avaient interpellé d'"odieux, abrutis, voyous en uniforme, racailles tombées du bon côté, au QI d'un poulpe mort". Pour ces propos, il avait été condamné en juillet 2012 à 2 000 euros d'amende par le tribunal correctionnel de Paris, pour "insultes publiques".
Joachim Ohnona