Les clubs de la planète entière s'apprêtent à vibrer, à nouveau, plus que de raison. L'un des groupes les plus puissants et les moins habillés des années 2000 s'apprête à se reformer : celui que composaient Nicole Scherzinger, Carmit Bachar, Ashley Roberts, Jessica Sutta, Melody Thornton et Kimberly Wyatt... les poupées chatons, alias les Pussycat Dolls. C'est ce qu'a confirmé une source du journal britannique The Sun, assurant que l'ex-leader du girls band était prête à tirer un trait sur les rancoeurs qui avaient fini par les séparer en 2010. Un gros chèque à la clé l'a tout de même aidée à se jeter à l'eau.
"On lui a fait une offre qui s'élève à plusieurs millions d'euros pour reformer le groupe, explique-t-on. Et on lui a donné une avance énorme qui a fait qu'elle ne pouvait pas refuser. Nicole Scherzinger a dit non à de nombreuses reprises, mais avec l'anniversaire des dix ans de leur séparation, elle a fini par penser qu'elle était prête." Au programme, une tournée internationale qui devrait débuter en 2020 et, si tout se déroule au mieux, des surprises musicales qui compléteraient la liste déjà longue des tubes des Pussycats Dolls – allant de Don't Cha à Button à I Don't Need a Man. "Elles en sont aux toutes premières étapes, mais maintenant qu'elles savent qu'elles vont se réunir, plusieurs d'entre elles parlent de travailler sur des nouveautés."
L'avenir des Pussycat Dolls semblait relativement incertain, d'autant qu'une ancienne membre du groupe avait dénoncé la formation en 2017. Sur Twitter, Kaya Jones, membre très éphémère de la bande, a affirmé qu'il s'agissait d'un "réseau de prostitution". "Oh, on chantait et on était célèbre, écrivait-elle. Pendant que tous ceux qui nous possédaient se faisaient de l'argent. Robin [Antin, la créatrice du girls band, NDLR] et le label prenaient tout l'argent. Nous, les Pussycat Dolls, étions payées 500 dollars la semaine. Pendant que nous étions abusées et utilisées."