Visage incontournable du PAF, voilà plusieurs années que Nikos Aliagas fait les belles heures de la Une. A 54 ans, l'amoureux de Tina Grigoriou peut se targuer d'avoir animé de multiples émissions populaires. A l'instar de la Star Academy, The Voice ou encore 50' Inside pour ne citer qu'elles. S'il souhaite continuer à s'illustrer à l'antenne, le principal intéressé a toutefois décidé de lever le pied pour se consacrer davantage à l'une de ses plus grandes passions : la photographie. Dès la rentrée, le présentateur n'assura plus la présentation de l'emblématique émission people diffusée tous les samedis sur TF1.
L'animateur se dévoile
"Ça a été longtemps mûri et réfléchi (...)", a assuré Nikos Aliagas auprès de nos confrères de Puremédias. 50 Minutes Inside est l'émission que je présente depuis le plus longtemps dans ma carrière. C'est une grande partie de ma vie. Je me dis qu'il faut savoir passer la main et le faire quand je peux le faire (...). En attendant d'enchaîner les projets à la fin de l'été, l'heureux papa de deux enfants va certainement s'octroyer un petit break bien mérité loin des regards indiscrets. Sur la Toile en tout cas, ses abonnés sont à l'affût de ses moindres posts. De temps à autre, il met d'ailleurs à l'honneur quelques de ses clichés. Mais ce vendredi 21 juillet 2023, le confrère de Camille Combal semblait d'humeur nostalgique. Dans sa story Instagram, le journaliste a relayé une belle archive en noir et blanc : une photo prise de lui en 1986. A cette époque, Nikos Aliagas avait alors 17 ans.
Je n'étais pas un ado très sûr de moi
Le photographe torse nu pose bras croisés, les cheveux en bataille et le regard fixe vers l'objectif. Si ses traits du visage et son allure ont légèrement changé, il est facile de le reconnaître. En mars dernier, Nikos Aliagas s'était livré comme jamais dans les colonnes de Gala. Si son charisme fait l'unanimité auprès des téléspectateurs, il semble assez détaché quant à l'image qu'il véhicule. "Plus que de m'aimer, j'ai travaillé l'acceptation. Je n'étais pas un ado très sûr de moi, je me suis probablement inventé une carapace pour me protéger", a confié le principal intéressé avec beaucoup de philosophie. "Je n'aime pas être photographié par exemple alors que je fais un métier public, je préfère être derrière l'objectif".
Malgré le temps qui passe, hors de question pour lui de succomber à l'appel du bistouri : "Je ne suis pas un grand adepte du bistouri. Je n'ai rien modifié sur mon visage, les rides de mon front disent qui je suis. Pourquoi devenir un autre ? On ne joue pas longtemps à cache-cache avec le temps, il nous rattrape toujours. Mais je peux comprendre qu'une femme ou qu'un homme ait besoin d'être rassuré".