En plus d'évoquer les problèmes d'alcoolisme de son père et sa tentative de suicide, Noémie Lenoir, invitée dans La Parenthèse inattendue le 19 février, a également confié qu'il lui était déjà arrivé d'être ridiculisée lors de certains castings pour des défilés.
Le monde de la mode s'avère parfois aussi impitoyable que dans Le diable s'habille en Prada. Même si elle connaît bien le métier de mannequin et qu'elle a défilé pour de grands créateurs, et même Victoria's Secret, Noémie Lenoir a récemment déchanté. Il y a quelques mois, pour un défilé à Milan, le physique du mannequin de 34 ans a été raillé. "J'essaie une robe, on me regarde et on me dit : "Donnez-lui la plus grande, la plus large. C'était il y a deux mois. J'essaie la robe, elle me va, la directrice vient me voir et me dit : 'La robe, elle te va bien, personne d'autre ne peut la porter'", commence à raconter le joli top qui croit, à ce moment-là, qu'il s'agit d'un compliment. Car oui, comme elle l'explique ensuite, la directrice voulait en réalité dire que Noémie était la seule à être "assez grosse" pour entrer dans la tenue.
"Je fais 55 kilos", rappelle alors la jolie maman de Kelyan (9 ans), dont le papa est le sportif Claude Makelele. Face à cette humiliation, elle confesse ensuite avoir été particulièrement touchée : "J'étais super triste car ça me faisait penser à mes débuts de carrière quand j'avais 17 ans et que je ne me sentais pas bien." Et la terrible scène ne s'est pas arrêtée là. Une phrase bien plus blessante encore est sortie ensuite de la bouche de la femme qui s'occupait des essayages. Comme elle le raconte : "Là, je la vois au loin et elle dit à son assistant : 'Ne lui donnez pas d'autres robes car de toute façon elle ne rentrera pas dedans.'" Une phrase de trop qui a fait pleurer le mannequin qui est rentré immédiatement à Paris.
Malgré cette mésaventure, Noémie le sait, elle n'a rien à se reprocher et certainement pas d'être trop grosse."Je viens de faire le Crazy Horse où justement on me dit que j'ai un corps de rêve", a-t-elle conclu. Et elle a bien raison !
Sarah Rahimipour