Impitoyable. Novak Djokovic a dominé, une fois de plus, Andy Murray en finale de l'Open d'Australie. A l'autre bout de la Terre : son épouse, Jelena Ristic. Laquelle n'a pas manqué de partager son impatience à l'idée de retrouver son champion.
Si la jolie blonde a assisté au massacre d'Andy Murray en finale de l'Open d'Australie en compagnie de son petit Stefan, effrayé par le Britannique, elle se languissait de son époux. Sur son compte Instagram, ce dimanche 31 janvier, elle a publié un long message dans lequel elle revient sur la séparation physique, inhérente à toute carrière de joueur de tennis professionnel. Et comment la jeune femme gère, en apparence facilement, la situation.
On la découvre dans les bras de son homme, vainqueur de son sixième Grand Chelem australien, le onzième de sa carrière, rejoignant des légendes comme Björn Borg ou Rod Laver. Mais contrairement à Andy Murray, qui a pris un avion vers une 1h du matin pour rejoindre son épouse Kim Sears, sur le point d'accoucher, "Nole" devra encore patienter avant de retrouver les siens - protocole oblige.
"Séparés trois semaines, mais dans deux jours nous serons de nouveau réunis. Nous sommes plutôt OK sur le fait d'être séparés l'un de l'autre et n'avons pas de problèmes avec les 'au revoir', parce que nous sommes tous les deux très occupés et indépendants. Les jours passent très vite et nous sommes tous les deux concentrés sur ce que nous faisons, donc ça marche bien pour nous depuis toutes ces années. Mais quand il est sur le point de rentrer et monte dans l'avion, ces quelques heures semblent être une éternité !!! Bien joué mon amour ! Mon passionné et compatissant champion. Vainqueur de l'Open d'Australie pour la 6e fois", écrit ainsi Jelena Ristic.
De son côté, Novak Djokovic a également marqué son impatience à retrouver les siens, notamment son petit garçon, relayant un message de son épouse et indiquant : "Début du compte à rebours... Encore deux jours."
En attendant les retrouvailles amoureuses, le N°1 mondial va se prêter, comme il en a l'habitude et avec le talent qu'on lui connaît, à toutes les obligations liées à sa victoire. La dure vie du champion...