Rendez-vous était donné ce 8 septembre dès 15H30, dans le 6e arrondissement de Paris, pour les obsèques de Florence Rogers-Pinault. Son décès a été annoncé dans les pages du journal Le Figaro le 6. Elle était la fille de Maryvonne Campbell, la seconde épouse de l'industriel François Pinault. On a pu voir de nombreuses personnalités pour lui rendre hommage.
La classe politique était notamment représentée par la première dame Brigitte Macron. Celle-ci est malheureusement venue sans son mari le président Emmanuel Macron, lequel était retenu dans l'après-midi par un entretien à l'Elysée avec Armin Laschet, ministre-président de Rhénanie du Nord – Westphalie et candidat de la CDU/CSU à la chancellerie fédérale allemande. Toutefois, elle n'était pas seule puisqu'on a pu voir à son bras José Pietroboni, chef du protocole du palais présidentiel. La première dame, toujours élégante, avait enfilé une sobre robe noire pour la triste occasion. On a pu la voir, après la cérémonie, allait discuter et réconforter Maryvonne.
Non loin d'elle, on a aussi pu voir l'ancien président de la République François Hollande. L'ex-chef d'Etat, qui doit témoigner dans quelques semaines au procès des attentats du 13-Novembre devant la cour d'assises spéciale de Paris, était au bras de sa compagne l'actrice et productrice Julie Gayet. Celle-ci, que l'on a pu voir avec son amoureux cet été lors d'un festival de cinéma, était en tenue plus décontractée en robe noire, top blanc et veste en jean. Le couple avait toutefois bien fait attention à porter des masques de protection contre le coronavirus.
Florence Rogers-Pinault, mère de deux enfants, était membre du conseil de gérance et responsable des relations publiques du vignoble de Château Latour. Un beau et réputé domaine viticole du Médoc appartenant au groupe Artémis, fondé par François Pinault, qui a passé la main à son fils depuis quelques années. La cause de sa mort n'a pas été confirmée par son clan mais l'avis de décès évoquait des dons en faveur de l'Institut international de cancérologie de Paris du professeur David Khayat.