Pascal Obispo n'en peut plus ! Installé au Cap Ferret, il vit l'enfer : "Ne venez plus !"

Il l'a annoncé ce 12 septembre 2024, Pascal Obispo revient sur scène ! Avec un nouvel album intitulé L'Archipel des séquelles, disponible dans les bacs dès ce dimanche, il enchaîne les interviews promotionnelles. L'occasion pour lui de revenir sur ses plus grands succès, mais pas seulement. Invité sur les ondes d'Europe 1, il n'a pas pu s'empêcher d'aborder un sujet qui l'agace tout particulièrement : celui du Cap Ferret.

Pascal Obispo fréquente le Cap Ferret depuis les années 1970 et il n'en peut plus, comme il a tenu à le faire savoir. En un demi-siècle, l'interprète de Tombé pour elle a été témoin d'une transformation du cette presqu'île donnant sur le bassin, qui lui a fortement déplu. Avec sa renommée grandissante, la zone a effectivement accueilli de plus en plus de familles au fil des ans.

Une bonne nouvelle pour l'économie du Cap... Mais une mauvaise pour les stars qui ont décidé d'y vivre. "Ne venez plus au Cap Ferret, ça serait bien parce que c'est devenu autre chose, c'est un peu compliqué...", s'est-il plaint au micro de Thomas Isle. Le chanteur de 59 ans s'explique : "C'est un endroit magnifique, mais c'est un enfer, je ne sors plus de chez moi !"

Si Pascal Opispo tient à ce point à préserver l'image du Cap Ferret qu'il connaît, c'est parce qu'il a vécu certains de ces plus beaux moments dans la demeure qu'il y possède. "Depuis 1970, j'y passe tous mes étés. C'est ici que j'ai appris à nager et que j'ai fait mes premiers radios-crochet, au Club Mickey...", avait-il déjà expliqué au Journal du dimanche, il y a six ans.

C'est là, par exemple, qu'il s'est marié avec la mannequin Julie Hantson, en 2015 (ils sont aujourd'hui divorcés). Sa maison au Cap Ferret, c'est le reflet de son amour pour cet endroit. L'artiste a acheté un ancien centre de vacances qu'il a transformé en demeure et en studio. Ce lieu, il le décrivait comme étant idéal pour créer et se ressourcer. "Avec les embruns, l'air des pins et des mimosas, on y est bien. J'aime de plus en plus travailler ici. J'y ai composé une grande partie de mon dernier projet", confiait celui qui a récemment eu des problèmes de santé avant que des hordes de touristes ne débarquent pertuber son petit lieu de repos.