À 44 ans, Philippe Candeloro n'a pas encore dit son dernier mot. Pas question de ranger ses patins, il est encore beaucoup trop tôt. Recruté pour rejouer le très classique Lac des cygnes sur glace, il se produit dès ce 19 octobre au Grand Rex de Paris. Loin de son univers déjanté, le danseur glacé a dû s'adapter.
Après s'être entraîné en Russie, accompagné de celle qui ne le quitte plus depuis bientôt vingt ans, sa femme Olivia, le célèbre patineur est de retour sur ses terres parisiennes. C'est à cette occasion que Philippe Candeloro a accordé plusieurs interviews.
Dans le dernier numéro du magazine Voici, le sportif évoque son avenir, notamment financier. Parce qu'il n'a pas sa langue dans sa poche, Philippe Candeloro n'a pas peur d'évoquer un sujet souvent tabou : l'argent. Alors qu'il est questionné sur ses économies, ce qu'il a pu mettre de côté, le patineur répond franchement. "J'ai de quoi vivre deux ou trois ans. Pas plus, confie-t-il. Avec tout ce que le gouvernement te taxe, c'est de la folie ! Tu te saignes toute ta vie et on te prend tout. Le social, aider les gens, c'est bien, mais moi, si demain j'ai besoin d'aide, on ne me donnera rien. Alors je bosse, je ne compte que sur moi." Remonté contre l'État, Philippe...
Connu pour son caractère bien trempé, qui fait son succès sur France Télévisions, l'ex-champion peut compter sur sa femme pour le tempérer et prendre sa défense. "Philippe est un homme simple qui ne cherche pas ses mots, qui dit la vérité", assure Olivia au magazine Gala, en kiosques ce mercredi 19 octobre.
Mariés depuis dix-huit ans, Philippe et Olivia filent toujours le parfait amour. Le patineur livre le secret de la longévité de leur union à Voici : "On se parle beaucoup. Et comme on est souvent séparés à cause du travail, on est toujours de se retrouver."
Heureux en amour, Philippe Candeloro se souvient de ce jour où il aurait pu s'en aller, lors du terrible drame survenu sur le tournage de Dropped en mars 2015. "Ce qui a changé, c'est que j'ai organisé mes affaires. Parce qu'outre le chagrin, si j'étais mort, j'aurais laissé à Olivia et aux filles [Luna, Maya et Talia, NDLR] un sacré bordel administratif ! Là, s'il m'arrive quelque chose, tout est en ordre, et l'État ne pourra pas tout me piquer...", conclut-il sur le ton de l'humour.
L'intégralité de l'interview de Philippe Candeloro est à retrouver dans le magazine Voici en kiosques le 14 octobre, et les confidences de sa femme Olivia dans le Gala du 19 octobre.