Les vacances se poursuivent tranquillement pour Faustine Bollaert. Avant de reprendre le chemin des plateaux télé, l'animatrice profite en effet de la douceur de la pause estivale, lors de laquelle elle a notamment pu se réunir avec son frère ultra-canon. Et après avoir inquiété sa communauté en se blessant et en apparaissant en béquilles, Faustine Bollaert a semble-t-il retrouvé toute sa forme.
Pour preuve, c'est très souriante qu'elle s'est affichée en story Instagram ce mercredi 9 août 2023. Vêtue d'une robe noire, lunette de soleil sur le nez et chapeau sur la tête, la jolie brune était tout simplement ravissante. Forcément, avec une telle image, la femme de Maxime Chattam a reçu beaucoup de messages privés. Il y en a un en particulier qui a retenu son attention. Et pour cause, il provenait d'une personne vraisemblablement fétichiste.
"Puis-je voir vos jolis pieds s'il vous plaît Maîtresse ?", lui a-t-on demandé. Une requête qui a beaucoup amusé la principale intéressée. En repartageant le message, elle a ainsi commenté avec humour : "On se dit bonjour quand même d'abord !" (Voir notre diaporama).
Peut-être que ce drôle d'échange lui donnera en tout cas des idées pour un nouveau numéro de Ça commence aujourd'hui, l'émission de témoignages qu'elle présente depuis 2018 sur France 2 et dont elle reprendra les rênes à la rentrée. En outre, Faustine Bollaert devrait aussi animer Ça vaut le coup, un tout autre programme imaginé par la chaîne. Qui plus est, elle a lancé cet été sa chaîne YouTube baptisée Safe Zone, à travers laquelle elle s'entretient avec des personnalités publiques.
Je m'en veux parfois...
Sa capacité à écouter les autres peut néanmoins se révéler pesante pour la maman d'Abbie (née en juillet 2013) et de Peter (né en juillet 2015). "Il y a un certain prix à payer émotionnellement. La seule chose, c'est que je ne peux pas être aussi disponible dans ma vie personnelle que je ne le suis quand je suis face à mes invités. Quand je rencontre des gens dans la rue, qui me racontent des choses très intimes et très fortes, je m'en veux parfois de ne pas pouvoir leur accorder autant d'écoute que je pourrais le faire à la télévision. Je vis un peu avec cette pression de décevoir...", avouait-elle au Parisien en juillet dernier.