On ne présente plus Béatrice Dalle. L’actrice, révélée dans le film 37°2 le matin en 1986, a le caractère bien trempé et ne s’en est jamais caché. Aussi talentueuse que sulfureuse, Béatrice Dalle, qui fête ses 60 ans ce jeudi 19 décembre, en a vu de toutes les couleurs dans sa vie. Mais elle est comme ça Béatrice, elle consume la vie avec passion quitte à se brûler les ailes.
En 2018, Béatrice Dalle avait aussi prouvé par une drôle d'anecdote qu'elle n'était pas du genre à se laisser marcher sur les pieds. “Je suis brutale d’aspect. Brutale dans mes réflexions, parce que je ne réfléchis pas, je donne mon cœur et il n’y a pas de calcul. Si tu me parles mal, je te fracasse. (…) Il y a un mec qui m’a mal parlé, alors je lui ai mis une droite. C’était trop marrant, c’était dans le Marais. Le mec me parle trop mal, je lui mets une patate.”
Mais il n’y a pas qu’en plein Paris que Béatrice Dalle a déjà réglé ses comptes avec un homme. Aux États-Unis, par exemple, la comédienne a eu affaire à un ambassadeur. Et cette altercation n’a pas été sans conséquence pour elle.
Comme elle l’avait fait savoir dans un post Instagram il y a quelques années, Béatrice Dalle a révélé qu’il lui était interdit de pénétrer sur le territoire américain. Dans la section commentaire de la publication (supprimée depuis) sur laquelle on voyait une photo de la tête de Donald Trump dans une boîte, elle avait indiqué avoir été interdite de territoire pendant sept ans après une altercation avec un ambassadeur américain qu’elle avait giflé en 1997. Plus de 20 ans plus tard, cette décision était toujours d’actualité et celle qui fut la compagne de JoeyStarr avait admis ne pas comprendre pourquoi alors qu’elle n’avait “pourtant giflé aucun autre américain” depuis, comme le rapportait le site belge 7sur7.
Pas du genre à mâcher ces mots, Béatrice Dalle avait aussi fait part de la raison pour laquelle elle s’en était pris à lui : “Il m’a parlé comme un chien, et que tu sois ambassadeur ou pas, j’en ai rien à foutre. Si tu me respectes, je te respecte, si tu me respectes pas, je te n*que ta mère.” Ça a le mérite d’être clair.