Avant Vincennes et le temps pluvieux, le Grand Palais et des people radieux ! Samedi 26 janvier 2013, le 92e Prix d'Amérique offrait, en préambule à la compétition acharnée qui se jouera dimanche après-midi sur l'hippodrome de Vincennes, une magnifique soirée de gala dans l'un des hauts lieux parisiens.
Sous la nef du Grand Palais, bien des personnalités ont accepté l'invitation et ont accouru au grand galop pour cette célébration de la course reine du trot, où la superstar Ready Cash visera la passe de troit après ses succès en 2012 et 2011.
Pour ce qui est de rouler à grande vitesse, le pilote de Formule 1 de l'écurie Lotus Romain Grosjean s'y entend et prenait part à l'événement en compagnie de son épouse Marion Jollès-Grosjean. L'occasion pour eux d'officialiser un heureux événement, bien visible d'après les rondeurs de la pétillante journaliste de TF1 : la naissance prochaine de leur premier enfant.
Au cours de la soirée, animée notamment par l'exceptionnel voltigeur équestre Mario Luraschi, dresseur de chevaux prisé des cinéastes, les amoureux ont pu croiser Corinne Touzet, Roselyne Bachelot, la fameuse pro du turf Pierrette Brès, la chorégraphe et jurée de Danse avec les stars Marie-Claude Pietragalla, le mannequin Satya Oblet, Françoise Laborde, Patrick Poivre d'Arvor, Marco Prince, Bernard de la Villardière ou encore la présidente de la Société Miss France Sylvie Tellier et l'ancienne Miss France (1992) Linda Hardy, très à son avantage dans une robe noire asymétrique.
Quelques-uns ont pris la pose en couple, à l'image de Jérémie Elkaïm et Valérie Donzelli, de la ministre déléguée en charge des Français de l'étranger Hélène Conway-Mouret et son mari, ou encore de... Chevallier et Laspallès, Philippe Chevallier ayant par ailleurs posé avec son épouse.
Et tandis que le président du Cheval français Dominique de Bellaigue se rendait disponible pour chacun, certains faisaient les pitres pour les photos souvenirs, comme Julie de Bona et son compagnon Alexandre, ou le créateur Jean-Claude Jitrois, avec à son bras Frédérique Bel, qui avait étonnamment remplacé sa muse habituelle Sarah Marshall. Dans cette soirée où le noir était presque un dress code universel, la blonde faisait son petit effet en tailleur bordeaux.