L'ambiance était électrique sur la pelouse du Parc des princes dimanche 13 septembre 2020. Le PSG accueillait son rival historique, l'Olympique de Marseille. Ce match comptant pour la Ligue 1 Uber Eats s'est soldé par la victoire du club phocéen grâce au but de Florian Thauvin, le seul de la soirée. La rencontre a également été marquée par cinq cartons rouges, trois chez les Parisiens et deux chez les Marseillais. Une soirée sous très haute tension à laquelle ont assisté quelques personnalités depuis les tribunes VIP du parc des Princes. Parmi elles, l'animateur Benjamin Castaldi qui était accompagné de l'un de ses fils, Simon (20 ans), né de sa relation passée avec Valérie Sapienza. Simon ressemblait à s'y méprendre à son grand frère Julien.
Tous deux masqués dans les tribunes pour respecter les gestes barrières, Benjamin Castaldi et son fils ont profité des petits plaisirs des accueils VIP, comme le champagne. Ces petits plus n'ont pas suffi à leur faire oublier cette soirée sportive catastrophique. "Jouez au foot, bordel", a commenté Simon dans sa story Instagram, après l'un des accrochages du match.
L'ancien président de la République Nicolas Sarkozy, fervent supporter du PSG, ou encore l'ancien sélectionneur des Bleus Raymond Domenech se trouvaient également dans les tribunes du Parc des princes.
Racismo, no !
Tout juste revenu auprès de ses coéquipiers après avoir été mis à l'écart pour cause de test positif au coronavirus survenu juste après ses vacances à Ibiza, Neymar a été exclu à la suite d'une bagarre générale. Durant une bonne partie du match, l'attaquant star brésilien de 28 ans a dénoncé des faits de racisme provenant du défenseur espagnol de l'Olympique de Marseille, Alvaro Gonzalez.
Selon des images isolées et diffusées par la chaîne Téléfoot, Neymar s'est plaint peu après la demi-heure de jeu auprès du corps arbitral, en répétant à de très nombreuses reprises "racismo, no!" ("Le racisme, non!", en espagnol), en pointant le défenseur espagnol de l'OM, chargé de le marquer.
En toute fin de match, après un embryon de bagarre générale, Neymar fut l'un des cinq joueurs exclus par l'arbitre, pour avoir adressé une gifle sur l'arrière du crâne d'Alvaro Gonzalez. "Regardez le raciste ! C'est pour ça que je l'ai frappé !", a dit le Brésilien au quatrième arbitre et devant une caméra, en quittant la pelouse. "Mon seul regret, c'est de ne pas avoir frappé ce connard au visage", a tweeté le N.10 parisien une heure après la rencontre.