Stéphane Rousseau et Reem Kherici lors de la projection des Infidèles à Paris le 14 février 2012© Abaca
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Si Reem Kherici assure avec passion la promotion de son long métrage Paris à tout prix, elle bénéficie d'un soutien de choix, celui de son amoureux Stéphane Rousseau. L'humoriste et comédien québécois et la membre de la Bande à Fifi ont tourné ensemble dans Fatal de Michaël Youn, et pendant la promotion de cette comédie déjantée à l'automne 2010, l'amitié s'est transformée en amour. Pour le magazine Paris Match, les amoureux se sont livrés, au cours d'une interview croisée, et se sont amusés lors d'une séance photo en plein Canada, le pays de Stéphane.
Dans Paris à tout prix, de et avec Reem Kherici, Stéphane Rousseau incarne un styliste très exigeant qui met la barre très haut pour son employée Maya, qui rêve de décrocher un CDI. Mais lorsque la police réalise que son titre de séjour a expiré, elle est renvoyée dans son Maroc natal. Un choc des cultures qui va la déstabiliser mais aussi lui ouvrir les yeux. Avoir son amoureux à ses côtés pour ce premier long métrage en tant que réalisatrice était indispensable pour Reem Kherici, mais son compagnon se ravit de ne pas avoir joué son amoureux à l'écran, soulagé de ne pas avoir à mélanger fiction et réalité.
Leur réalité, c'est un couple solide, plein d'autodérision, qui vit à cheval entre la France et le Canada et pour qui tout a commencé pendant la promotion du film Fatal, puisque pendant le tournage, ils n'étaient "pas disponibles pour entamer une relation". Et le mariage ? "C'est un sujet de discussion", dira Stéphane. "Disons que j'aimerais bien me marier un jour", rétorquera timidement Reem, et son amoureux réagira : "Moi aussi."
Amoureux épanouis, ils ont en commun pas mal de choses, et parmi elles l'envie de faire rire. En effet, ils ont chacun été marqués par des épreuves. Pour Stéphane Rousseau, il fallait qu'il affronte, par le biais du rire, la mort de sa mère quand il avait 12 ans, de son père et de sa soeur, tous décédés de cancers. Amuser ses proches et le public pour mieux tordre le cou à la peine. Il expliquera qu'il fallait qu'il fasse rire sa mère lorsqu'elle était très malade, comme pour soulager sa douleur, pour la rendre heureuse.
Dans le magazine Gala, Reem Kherici évoquera sa relation difficile entre son père et elle, qui fait écho à son personnage dans Paris à tout prix, Maya, en froid avec son paternel : "Ado, je n'ai jamais lu ni admiration ni amour dans le regard de mon père, j'avais donc un gros déficit de confiance en moi. Je rêvais de m'appeler Stéphanie, d'être blonde, jusqu'à ce que je comprenne que mon côté exotique pouvait être un avantage."
"Paris à tout prix", en salles ce 17 juillet
Retrouvez l'intégralité des interviews dans les magazines Paris Match et Gala, respectivement du 18 et du 17 juillet
Dans Paris à tout prix, de et avec Reem Kherici, Stéphane Rousseau incarne un styliste très exigeant qui met la barre très haut pour son employée Maya, qui rêve de décrocher un CDI. Mais lorsque la police réalise que son titre de séjour a expiré, elle est renvoyée dans son Maroc natal. Un choc des cultures qui va la déstabiliser mais aussi lui ouvrir les yeux. Avoir son amoureux à ses côtés pour ce premier long métrage en tant que réalisatrice était indispensable pour Reem Kherici, mais son compagnon se ravit de ne pas avoir joué son amoureux à l'écran, soulagé de ne pas avoir à mélanger fiction et réalité.
Leur réalité, c'est un couple solide, plein d'autodérision, qui vit à cheval entre la France et le Canada et pour qui tout a commencé pendant la promotion du film Fatal, puisque pendant le tournage, ils n'étaient "pas disponibles pour entamer une relation". Et le mariage ? "C'est un sujet de discussion", dira Stéphane. "Disons que j'aimerais bien me marier un jour", rétorquera timidement Reem, et son amoureux réagira : "Moi aussi."
Amoureux épanouis, ils ont en commun pas mal de choses, et parmi elles l'envie de faire rire. En effet, ils ont chacun été marqués par des épreuves. Pour Stéphane Rousseau, il fallait qu'il affronte, par le biais du rire, la mort de sa mère quand il avait 12 ans, de son père et de sa soeur, tous décédés de cancers. Amuser ses proches et le public pour mieux tordre le cou à la peine. Il expliquera qu'il fallait qu'il fasse rire sa mère lorsqu'elle était très malade, comme pour soulager sa douleur, pour la rendre heureuse.
Dans le magazine Gala, Reem Kherici évoquera sa relation difficile entre son père et elle, qui fait écho à son personnage dans Paris à tout prix, Maya, en froid avec son paternel : "Ado, je n'ai jamais lu ni admiration ni amour dans le regard de mon père, j'avais donc un gros déficit de confiance en moi. Je rêvais de m'appeler Stéphanie, d'être blonde, jusqu'à ce que je comprenne que mon côté exotique pouvait être un avantage."
"Paris à tout prix", en salles ce 17 juillet
Retrouvez l'intégralité des interviews dans les magazines Paris Match et Gala, respectivement du 18 et du 17 juillet