Richard Gere et sa femme Carey Lowell lors d'une projection spéciale d'Officier et Gentleman, organisée par l'Academy of Motion Picture Arts & Sciences à New York le 12 juin 2012© Abaca
La suite après la publicité
En 1982, le réalisateur Taylor Hackford présentait son deuxième long métrage, Officier et Gentleman. Un film dans lequel il dirigeait la star d'American Gigolo, Richard Gere. Trente ans plus tard, le 12 juin dernier, l'acteur était à New York pour une projection spéciale organisée par l'Academy of Motion Picture Arts & Sciences, institution à qui l'on doit les Oscars. Le film avait en effet reçu une statuette pour la catégorie meilleur acteur dans un second rôle (Louis Gossett Jr.) et celle de meilleure chanson originale (Up Where We Belong).
La chevelure argentée, des lunettes (ou pas) sur le nez et une allure séduisante : le comédien de 62 ans, activiste bouddhiste, semble ne pas avoir pris une ride depuis la sortie d'Officier et Gentleman. Ravi de défendre une nouvelle fois ce long métrage, il pose l'air heureux aux côtés de Carey Lowell, son épouse depuis 2002 et la mère de leur fils Homer, 12 ans.
Ce n'est pas sans une certaine nostalgie que le comédien a dû revoir ce succès du box-office, dans lequel il incarnait Zack Mayo, un homme qui s'engage comme officier pour changer de vie. Le long métrage culte de la décennie 1980 s'achève par la scène culte et romantique du porté de damoiselle - Debra Winger en l'occurrence -, sur les notes de musique du titre chanté par Jennifer Warnes et Joe Cocker, Up Where We Belong.
Officier et Gentleman a contribué à asseoir la popularité de Richard Gere en tant que sex-symbol du cinéma américain. Le héros de Pretty Woman a certes conservé tous ses atouts en matière de séduction, mais il y a bien longtemps qu'il n'a pas fait exploser le nombre d'entrées dans les salles obscures. Si Hatchi a récolté 45 millions de dollars, le biopic Amelia avec Hilary Swank en rôle-titre s'est contenté de 19 millions de dollars et Secret Identity, d'à peine 3,7 millions... Prochain film prévu pour mister Gere, le thriller Arbitrage avec une certaine Laetitia Casta.
La chevelure argentée, des lunettes (ou pas) sur le nez et une allure séduisante : le comédien de 62 ans, activiste bouddhiste, semble ne pas avoir pris une ride depuis la sortie d'Officier et Gentleman. Ravi de défendre une nouvelle fois ce long métrage, il pose l'air heureux aux côtés de Carey Lowell, son épouse depuis 2002 et la mère de leur fils Homer, 12 ans.
Ce n'est pas sans une certaine nostalgie que le comédien a dû revoir ce succès du box-office, dans lequel il incarnait Zack Mayo, un homme qui s'engage comme officier pour changer de vie. Le long métrage culte de la décennie 1980 s'achève par la scène culte et romantique du porté de damoiselle - Debra Winger en l'occurrence -, sur les notes de musique du titre chanté par Jennifer Warnes et Joe Cocker, Up Where We Belong.
Officier et Gentleman a contribué à asseoir la popularité de Richard Gere en tant que sex-symbol du cinéma américain. Le héros de Pretty Woman a certes conservé tous ses atouts en matière de séduction, mais il y a bien longtemps qu'il n'a pas fait exploser le nombre d'entrées dans les salles obscures. Si Hatchi a récolté 45 millions de dollars, le biopic Amelia avec Hilary Swank en rôle-titre s'est contenté de 19 millions de dollars et Secret Identity, d'à peine 3,7 millions... Prochain film prévu pour mister Gere, le thriller Arbitrage avec une certaine Laetitia Casta.