Si l'on en doutait encore, non, la paternité n'a pas encore tout à fait calmé Robbie Williams. Actuellement en tournée dans le cadre de son Take The Crown Tour, le trublion british de 39 ans a offert à une de ses fans un moment dont elle se souviendra sans doute toute sa vie. Et pour cause : le chanteur n'a pas hésité, lors de son concert du 20 juillet dernier à Göteborg en Suède, à faire monter la jeune femme sur scène pour lui signer un autographe... sur les fesses. Rock'n'roll !
Fan depuis toujours de Robbie Williams, Lone Martinsen, Norvégienne de 22 ans, peut littéralement dire qu'elle a son idole dans la peau. Présente dans le public lors du show de la star déjantée à Göteborg, la demoiselle a vu son voeu le plus cher être exaucé : celui de recevoir la signature du chanteur sur son arrière-train afin de la faire tatouer. La pancarte arborant son souhait n'est pas restée dans l'ignorance totale, amusé par la chose, Robbie Williams a fait monter son admiratrice sur scène et s'est exécuté. Résultat, Lone Martinsen (qui avait tout prévu et possédait un marqueur dans son sac) s'est retrouvé les fesses à l'air devant quelques 65 000 spectateurs tandis que le chanteur apposait délicatement sa signature sur la fesse droite.
Filmée par des caméras projetant sur grand écran la scène, Lone Martinsen et son popotin ont connu leur heure de gloire dont le summum fut le furtif bisou donné par Robbie Williams (papa d'une petite Theodora née de ses amours avec son épouse Ayda Field), au derrière de la jeune femme. Bref, bad boy un jour, bad boy toujours !
La fan norvégienne a de son côté respecté sa promesse : sollicitée sur Twitter par des internautes curieux de connaître la suite de l'histoire, Lone Martinsen a assuré avoir transformé la signature en tatouage et a promis une photo dès qu'elle pourra enlever le cellophane entourant la petite merveille. "C'est fantastique. Mais en revanche j'ai passé une nuit blanche parce que je n'osais pas prendre de douche et qu'il faisait très chaud", a-t-elle confié au journal Daily Mail. Eh oui, on n'a pas rien sans rien...