Il n'y a pas d'âge pour changer de vocation professionnelle. Penny Lancaster (50 ans), l'épouse de Rod Stewart, a été modèle lingerie, photographe... aujourd'hui, c'est un nouvel uniforme qui l'attend. Elle a effectivement passé un test pour intégrer la police de la ville de Londres et a déjà débuté son activité. Durant son premier jour, l'officier Lancaster a été filmée et photographiée par la presse britannique alors qu'elle interpellait un jeune malotru en train d'uriner contre un mur, dans la rue. Elle lui a même ordonné de nettoyer son crime, une fois la fermeture éclair remontée. Les risques du métier...
Loin d'elle les robes de soirée et les tenues de scène. Si vous croisez Penny Lancaster, elle sera désormais munie de divers accessoires. Menottes, radio, taser et matraque, la femme du chanteur a déjà la panoplie complète du parfait gendarme. Cette voie lui avait été suggérée, comme un signe du destin, en 2019. Marquée par un fort besoin de justice, elle avait participé à l'émission Famous and Fighting Crime, dans laquelle elle s'était jointe, pour la télévision, aux forces de l'ordre anglaises. Elle était, à l'époque, une simple volontaire.
J'ai aidé une personne qui était vraiment désespérée
Aujourd'hui, Penny Lancaster est agent spécial de police et a le pouvoir d'arrêter les criminels. Elle a également, selon les informations de Good Morning Britain, sauvé la vie d'une femme qui tentait de mettre fin à ses jours. "Quand vous pensez à la police, vous pensez souvent à des actes violents mais nous sommes simplement là, dehors, pour aider les plus vulnérables, expliquait-elle au sein du programme. En ce moment, il y a beaucoup d'incidents qui surviennent sur les ponts de la ville et j'ai effectivement aidé une personne qui était vraiment désespérée. C'est assez gratifiant, quelque part."
Je pourrais rester dans mon étable avec mes chèvres
Ce métier n'est, bien sûr, pas dénué de dangers. Heureusement, elle est soutenue par son compagnon. Leurs deux univers sont devenus, en l'espace de quelques semaines, radicalement différents... mais sans regret. "Je pourrais marcher sur un tapis rouge avec Rod, ou je pourrais rester dans mon étable avec mes chèvres, rappelait-elle au Mail On Sunday en décembre dernier. Mais il y a un moment où chacun se questionne et se demande qui il est, au fond. J'ai senti que j'aurais toujours dû faire ce métier. C'est mon identité..."