Plus rare sur les écrans, bien qu'attendue prochainement à l'affiche d'Ocean's 8, Sandra Bullock est une femme totalement comblée aujourd'hui. Une mère de deux enfants qu'elle a adoptés (Louis, 8 ans, et Laila, 5 ans) et une femme qui file le parfait amour avec son petit ami photographe, Bryan Randall. Dans une interview accordée à InStyle, elle évoque son chéri en des termes très tendres, nous offrant une de ses rares confessions à propos de sa vie sentimentale, elle qui est plutôt du genre à cultiver le secret. "Il est super adorable. Pour les enfants, c'est en quelque sorte le N°1 et moi je suis le N°2. Mais je comprends, parce qu'il est plus drôle et qu'il fait de meilleures blagues", avoue la star hollywoodienne.
Dans l'interview, elle s'épanche également sur ses enfants. Elle dépeint l'aîné Louis comme un garçon "super sensible", "intelligent et gentil", quand la petite Laila est "une battante". "Oh mon Dieu, ce qu'elle va accomplir ! Elle va amener un vrai changement", lâche la maman, très fière. C'est Bryan qui avait photographié le trio pour la fameuse couverture de People en décembre 2015, lorsque Sandra Bullock avait présenté sa fille adoptive. Un terme qu'elle veut d'ailleurs aujourd'hui bannir : "Ne dites pas 'mon enfant adoptif'. Personne ne parle de son 'enfant FIV !'"
Elle ajoute aussi avoir souffert après l'adoption de Laila. En effet, l'actrice a eu peur qu'on la lui retire... "Lorsque vous adoptez, il y a une période de placement et si quelque chose se passe mal, ils ont le droit de vous enlever votre enfant. Ce sont six mois épuisants", confesse la star qui était beaucoup trop suivie par les paparazzi. "Tout le monde a su que j'avais un autre enfant. Et tout le monde voulait des photos. C'était déchirant. Quand Louis entendait un hélicoptère ou un drone, il courait dans le jardin chercher sa soeur pour la cacher sous le trampoline", raconte ainsi la mère de famille qui, depuis, a réussi à se faire oublier et vit heureuse à l'abri des regards. Ou presque. "Je serai toujours derrière eux. Et un drone nous suivra probablement", ironise-t-elle.