Maître Laurent-Franck Liénard, avocat de la plaignante, dénonçait mercredi une violation du droit à l'image de sa cliente, ainsi qu'une atteinte à l'intimité de sa vie privée. Il avait aussi rappelé qu'à l'annonce de la publication des clichés hot, cette dernière avait interdit au mensuel de les diffuser.
Le juge Nicolas Bonnal a affirmé : "La publication sans autorisation des huit photographies de Kelly Bochenko a été effectuée en violation du droit que détient celle-ci sur sa propre image". En revanche, estimant que la saisie du magazine était une condamnation démesurée, il a tout de même refusé la demande de cette dernière.
Celle qui a récemment déclaré "ma vie est foutue", a donc mené un vain combat...
Elle peut maintenant attaquer et demander des dommages intérêts, pour son droit à l'image, qui est une autre procédure...