Stephen Collins (Sept à la maison) : Divorce imminent, ses maisons en vente !

L'audience devant la cour de justice de Los Angeles, dans le cadre du divorce de l'acteur Stephen Collins et de son épouse Faye Grant, n'aura lieu que le 12 novembre prochain, cela n'empêche pas le futur ex-couple de commencer à liquider leurs biens communs. En effet, ils viennent de mettre en vente leurs maisons du quartier de Brentwood pour la somme de 5,5 millions de dollars, dévoile le Los Angeles Times.

Les choses s'accélèrent entre Faye Grant (57 ans) et Stephen Collins (67 ans). Alors que le divorce du couple dure depuis 2012, la fin s'annonce imminente. Comme stipulé dans les documents officiels de demande de divorce déposés par madame, la valeur des biens immobiliers du couple s'élève à 5,5 millions de dollars et la plaignante peut réclamer la moitié de cette somme. Le patrimoine immobilier des conjoints comprend deux maisons situées côte à côte à Brentwood. Il s'agit d'une résidence principale d'un montant de 2,8 millions de dollars, d'une surface habitable de 256 m², comprenant trois chambres, trois salles de bain et un bureau. Elle est aussi vendue avec une dépendance pour les invités, sur deux étages. La seconde demeure, d'une valeur de 2,7 millions de dollars, s'étend sur 239 m² et comprend également trois chambres et trois salles de bain. En revanche, elle possède une piscine en forme de lagon !

Faye Grant doit vivement espérer que ces maisons se vendent rapidement puisqu'il s'agit de biens sur lesquels elle peut aisément toucher beaucoup d'argent. L'avocat de l'acteur de Sept à la maison a d'ores et déjà signalé au confrère représentant la plaignante que celle-ci ne pouvait envisager de réclamer plus en raison de la chute de Stephen Collins, devenu un paria à Hollywood depuis ses confessions, qui ont fuité dans la presse, où il admettait en 2012 lors d'une thérapie de couple avoir eu des gestes pédophiles sur trois jeunes filles. Si deux des victimes ont porté plainte, la troisième n'a pas souhaité le faire. Toutefois, l'acteur ne risque rien au pénal en raison du délai de prescription. Une des plaignantes a annoncé qu'elle ne ferait rien au civil car elle ne veut pas de son argent. Ne reste plus à connaître que la décision de la seconde plaignante...

Thomas Montet