Décidément, la chance semble être du côté de Stephen Collins. L'ex-acteur star de la série Sept à la maison – au coeur d'une enquête pour "contacts sexuels inappropriés avec des mineurs" depuis que des enregistrements, sur lesquels il confesse des actes pédophiles sur trois victimes, ont fuité dans la presse – est sûr et certain d'échapper à la prison. En effet, en raison de l'ancienneté des faits, il bénéficie du délai de prescription, les faits remontent en effet aux années 1970. S'il ne risque rien au pénal, il semble également en passe d'éviter un procès au civil...
Alors que les trois victimes de l'acteur ont été identifiées, seules deux ont décidé de porter plainte, la troisième, ancienne baby-sitter de sa fille Kate, a choisi de ne pas le faire. Malheureusement, cela ne servira donc à rien. L'une d'elles, originaire de New York et principale victime de Stephen Collins, entre sa 11e à sa 13e année, a annoncé qu'elle renonçait à porter plainte au civil. Alors même qu'elle aurait pu espérer toucher une forte compensation financière, dévoile TMZ.
Oui mais voila, la plaignante, désormais âgée d'une cinquantaine d'années et qui avait déposé sa plainte au pénal en 2012 à New York, n'a absolument pas envie de soutirer de l'argent à Stephen Collins. Elle avait décidé d'attaquer l'acteur afin d'encourager d'autres éventuelles victimes à faire la même chose. Elle avait même prévenu la police de Los Angeles. Reste alors la deuxième victime qui a elle aussi déposé plainte au pénal pour rien mais qui pourrait choisir de passer par le civil....
Stephen Collins n'est toujours pas apparu en public depuis la révélation de cette affaire, que l'on doit sans doute à sa femme Faye Grant avec laquelle il est en instance de divorce depuis 2012. Une audience entre les deux parties doit d'ailleurs avoir lieu le mois prochain.
Thomas Montet