Planning chargé pour la jeune et belle Taylor Swift. Après avoir mis le feu sur la scène de la 55e cérémonie des Grammy Awards, le 10 février à Los Angeles, la chanteuse est déjà de retour au travail. C'est sur une plage de Malibu que l'on a retrouvé l'Américaine en train de tourner son nouveau clip, le lundi 11 février.
Alors que Taylor Swift a enflammé ses fans lors des Grammy Awards, se moquant au passage de son ex-chéri Harry Styles du groupe One Direction, la chanteuse de 23 ans poursuit l'exploitation de son dernier opus intitulé Red. La chanteuse country, qui cartonne avec son titre We Are Never Ever Getting Back Together, va proposer un nouvel extrait de l'album accompagné d'un clip. Une vidéo qu'elle a commencé à tourner sous le soleil de Malibu, déchaînée sur la plage avec des copines ou dans un caddie sur un parking. La girl next door de l'Amérique voudrait-elle retomber dans l'adolescence ? Vêtue très simplement, la belle affichait un sourire radieux. Un style tout en décontraction à l'opposé de sa couverture pour le magazine Elle américain, dans son édition du mois de mars.
En robe à carreaux époque yé-yé (1960) et le regard bien planté dans l'objectif, Taylor Swift fait sensation en cover girl. Interrogée par le magazine féminin sur ses ex-chéris comme Harry Styles ou le jeune Conor Kennedy, la belle met les choses au clair. "Je ne crois pas avoir déjà hurlé sur un ex-amant. Jamais. Je ne suis pas une hystérique. Quand quelque chose est fini, c'est fini", dit-elle. Une manière de dire qu'elle ne se sert pas de ses peines de coeur pour alimenter les textes de ses chansons... D'ailleurs à ce propos, elle se montre catégorique. "Pour moi, c'est juste une manière d'écrire des chansons, je l'ai toujours fait. C'est moi assise sur mon lit ressentant de la douleur que je ne comprends pas, écrivant une chanson et comprenant que ça soulage. Si les gens veulent décortiquer les paroles, c'est leur droit, mais tout vient de la manière dont j'ai commencé à écrire au début. C'est juste quelque chose que je fais pour me sentir mieux."
Thomas Montet