Thomas Vergara n'a pas tourné la page Nabilla. Plus de trois mois après le drame qui a bien failli lui coûter la vie - la belle brune est accusée de l'avoir poignardé et encourt jusqu'à 7 ans de prison -, le jeune homme de 28 ans a accepté de revenir brièvement sur ce qui s'est passé dans la nuit du 6 au 7 novembre 2014 à Boulogne-Billancourt, et surtout d'en dire plus sur sa vie sans Nabilla, auprès de nos confrères du magazine Public.
"Nabilla me manque beaucoup. Il y a comme un gros vide aujourd'hui. Nabilla est ma meilleure amie et ma femme : je n'ai plus rien. Ça fait bizarre", a-t-il commencé, avant d'entrer dans le vif du sujet : que s'est-il passé, cette tristement fameuse nuit de novembre dernier ? "Des histoires comme la nôtre, il y en a dans toutes les pages des journaux à la rubrique faits divers. C'est une embrouille qui a mal tourné." Et de poursuivre, sur la séparation qui en a découlé : "En sortant des soins intensifs, tout m'est tombé dessus. Tout a changé d'un coup. Ça a été très dur, je l'ai mal vécu. C'était brutal."
Aujourd'hui, Thomas n'a qu'une hâte : retrouver sa belle pour tenter de repartir sur de bonnes bases. En attendant, pour avoir le droit de la revoir, il doit attendre un procès qui ne se déroulera pas, au mieux, avant la fin d'année 2015. Il a au passage assuré ne pas l'avoir revue en secret comme cela a été dit ! "C'est faux. Je n'ai de comptes à rendre à personne si ce n'est au juge. Elle me manque beaucoup et on a plein de choses à se dire. J'ai envie de la retrouver", a-t-il expliqué.
Sur le terrain de la polémique, Thomas Vergara a également tenu à faire savoir qu'il n'avait jamais été violent avec sa douce, contrairement à ce qui a été largement avancé dans la presse, notamment par la famille de la jolie brune. "Je n'ai pas battu Nabilla, jamais de la vie ! C'est impossible, je ne suis pas un garçon violent, moi (...) On s'est déjà bousculés, un peu poussés, mais il n'y a jamais eu de coups de poing, ni de bleus." Et d'ajouter, quant à l'origine de cette rumeur : "Je comprends Marie-Luce (la mère de Nabilla) et Livia (sa grand-mère). Nabilla était en prison et elles voulaient la sortir de là. Il y a des propos plus durs que d'autres, des choses que je ne pardonnerai jamais."
Une chose est sûre, Thomas n'imagine toujours pas sa vie sans sa Nabilla, et ce, malgré l'épreuve qu'il traverse. "On s'aime autant qu'on se déchire. Je n'échangerais notre relation pour rien au monde. Cet amour est unique (...) Je ne peux pas imaginer ma vie avec quelqu'un d'autre qu'elle", a-t-il lâché avant de conclure, plein d'espoir quant à la suite des événements : "Je ne vois pas pourquoi elle retournerait en prison. Mais c'est certain que je ferai tout pour qu'elle n'y retourne pas, comme j'ai tout fait pour qu'elle en sorte."
Nabilla reste présumée innocente des faits qui lui sont reprochés jusqu'à la clôture définitive du dossier pénal.
Une interview à découvrir en intégralité dans le Public n°606, en kiosque.