C'est une disparition brutale et qui a fortement ému le monde du cyclisme. Le 12 décembre, on apprenait la disparition de Walter Bénéteau, ancien cycliste professionnel, à seulement 50 ans, retrouvé mort dans sa chambre d'hôtel lors de vacances à Bali, en Indonésie. Un sportif aimé par ses pairs et notamment Thomas Voeckler, qui a été son coéquipier au début des années 2000. "Il faut accepter. Ça fait chi*r. Il était là au tout début de l'équipe... J'ai eu du mal à y croire", lâche-t-il en interview au Parisien. Un véritable coup de massue pour le père d'une jeune fille, qui a encore du mal à réaliser la disparition de celui qu'il a côtoyé pendant plusieurs années.
Pour l'heure, on ne sait toujours pas ce qui a bien pu arriver à Walter Bénéteau, les circonstances de sa disparition n'étant pas encore connues. Pour Thomas Voeckler en revanche, les souvenirs remontent à la surface : "C'est un ensemble de choses. Il était là quand je suis arrivé en Vendée. On n'a jamais été amis proches, mais on s'est toujours très bien entendus. C'est après sa carrière qu'on s'est apprécié davantage. J'avais énormément d'affection pour lui, pour diverses raisons, mais c'est un peu dur d'en parler", poursuit-il avec beaucoup d'émotion.
C'était juste un mec en or. J'ai du mal à réaliser
De nombreux hommages sont parvenus d'un peu partout ces derniers jours pour rendre hommage à un homme particulièrement apprécié, comme le rappelle Thomas Voeckler. "Dans un groupe c'était une perle. Il avait l'art pour mettre l'ambiance. (...) C'est vraiment le genre de mec indispensable. Il mettait de la vie. Il entraînait tout le monde dans sa bonne humeur. Et il avait une vision juste du vélo", se remémore l'ancien champion, qui fut l'un des coureurs préférés des Français sur le Tour de France.
La disparition de Walter Bénéteau risque de faire mal un moment à un Thomas Voeckler très affecté. "C'était juste un mec en or. J'ai du mal à réaliser", conclut-il son émouvant témoignage.
C'était juste un mec en or. J'ai du mal à réaliser
De nombreux hommages sont parvenus d'un peu partout ces derniers jours pour rendre hommage à un homme particulièrement apprécié, comme le rappelle Thomas Voeckler. "Dans un groupe c'était une perle. Il avait l'art pour mettre l'ambiance. (...) C'est vraiment le genre de mec indispensable. Il mettait de la vie. Il entraînait tout le monde dans sa bonne humeur. Et il avait une vision juste du vélo", se remémore l'ancien champion, qui fut l'un des coureurs préférés des Français sur le Tour de France.
La disparition de Walter Bénéteau risque de faire mal un moment à un Thomas Voeckler très affecté. "C'était juste un mec en or. J'ai du mal à réaliser", conclut-il son émouvant témoignage.