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Après une saison loin des plateaux télé, marquée par la naissance de son petit garçon Alphonse (elle était déjà maman d'une petite Charlie née en juin 2012), Alessandra Sublet a fait, hier soir, son retour à l'antenne sur France 2 avec Un soir à la tour Eiffel. Un magazine culturel au cours duquel elle reçoit un invité de prestige pour un entretien émaillé d'une multitude de surprises qui lui sont réservées, notamment avec le concours de ses proches, célèbres ou pas. Ce nouveau rendez-vous de seconde partie de soirée doit son nom au lieu insolite au sein duquel il est filmé : le premier étage de la tour Eiffel à Paris, dans le salon Gustave Eiffel, à 57 mètres d'altitude.
Autour de la table de Touche pas à mon poste, face à Cyril Hanouna, les chroniqueurs n'ont pas franchement ménagé Alessandra Sublet pour son retour à la télé. Les uns après les autres, tous ont critiqué avec plus ou moins de virulence le programme, qualifié de "sous-Drucker", de trop complaisant et taclant le manque d'identité de l'émission, à mi-chemin entre un talk-show et un divertissement.
"J'ai trouvé que c'était une émission de confidences dans un écrin de divertissement. Je ne savais pas quel objet télévisuel j'étais en train de regarder. J'ai trouvé ça un peu confusant", analyse Enora Malagré, avant de s'en prendre ouvertement au producteur de l'émission, Pierre-Antoine Capton (également à l'origine de C à vous), lui reprochant de s'inspirer très fortement des idées un peu partout sans proposer de nouveaux concepts. Elle sera recadrée par Hanouna, qui juge, quant à lui, que "tout le monde pique des idées à droite à gauche".
"Pour une émission qui promettait des surprises, ça manquait quand même de surprises", ajoute Isabelle Morini-Bosc. "Si on doit faire du Michel Drucker, autant que ce soit avec Michel Drucker. C'est beaucoup trop complaisant. Les invités ont des heures pour s'exprimer, ils s'installent dans leur zone de confort. Ça nous exclut, qu'on les laisse entre eux !", s'indigne Gilles Verdez avec l'opiniâtreté qu'on lui connaît.
Alessandra Sublet n'est pas épargnée par les critiques... "J'ai trouvé qu'elle surjouait et ça m'a vraiment gênée", souligne Isabelle Morini-Bosc, qui confiera même s'être "endormie devant l'émission". "Alessandra, peut-être sous le coup de l'excitation, parlait très fort alors que l'émission se voulait intimiste à la Frequenstar", ajoute quant à elle Valérie Bénaïm.
Enfin, Jean-Luc Lemoine s'interroge sur la pérennité de la mise en avant hebdomadaire de la tour Eiffel. Emmanuel Maubert indique cependant que des aménagements seront faits pour les prochains numéros.
Un soir à la tour Eiffel revient dès la semaine prochaine : les prochains invités seront Nicolas Bedos (le 8 octobre) et Carla Bruni-Sarkozy (le 15 octobre).
Autour de la table de Touche pas à mon poste, face à Cyril Hanouna, les chroniqueurs n'ont pas franchement ménagé Alessandra Sublet pour son retour à la télé. Les uns après les autres, tous ont critiqué avec plus ou moins de virulence le programme, qualifié de "sous-Drucker", de trop complaisant et taclant le manque d'identité de l'émission, à mi-chemin entre un talk-show et un divertissement.
"J'ai trouvé que c'était une émission de confidences dans un écrin de divertissement. Je ne savais pas quel objet télévisuel j'étais en train de regarder. J'ai trouvé ça un peu confusant", analyse Enora Malagré, avant de s'en prendre ouvertement au producteur de l'émission, Pierre-Antoine Capton (également à l'origine de C à vous), lui reprochant de s'inspirer très fortement des idées un peu partout sans proposer de nouveaux concepts. Elle sera recadrée par Hanouna, qui juge, quant à lui, que "tout le monde pique des idées à droite à gauche".
"Pour une émission qui promettait des surprises, ça manquait quand même de surprises", ajoute Isabelle Morini-Bosc. "Si on doit faire du Michel Drucker, autant que ce soit avec Michel Drucker. C'est beaucoup trop complaisant. Les invités ont des heures pour s'exprimer, ils s'installent dans leur zone de confort. Ça nous exclut, qu'on les laisse entre eux !", s'indigne Gilles Verdez avec l'opiniâtreté qu'on lui connaît.
Alessandra Sublet n'est pas épargnée par les critiques... "J'ai trouvé qu'elle surjouait et ça m'a vraiment gênée", souligne Isabelle Morini-Bosc, qui confiera même s'être "endormie devant l'émission". "Alessandra, peut-être sous le coup de l'excitation, parlait très fort alors que l'émission se voulait intimiste à la Frequenstar", ajoute quant à elle Valérie Bénaïm.
Enfin, Jean-Luc Lemoine s'interroge sur la pérennité de la mise en avant hebdomadaire de la tour Eiffel. Emmanuel Maubert indique cependant que des aménagements seront faits pour les prochains numéros.
Un soir à la tour Eiffel revient dès la semaine prochaine : les prochains invités seront Nicolas Bedos (le 8 octobre) et Carla Bruni-Sarkozy (le 15 octobre).