Stéphane Delajoux en décembre 2009© Angeli
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Loin de tous ses problèmes de santé, Johnny Hallyday fait son grand retour professionnel, mais voilà que son chirurgien fait encore du bruit ! S'étant "défoulée" sur Internet contre le chirurgien qui a opéré en 2009 le Taulier, une fan belge du chanteur, Dorothée Boulanger est poursuivie en justice par le médecin pour diffamation, injures et menaces de délits contre les personnes devant le tribunal de grande instance de Paris, selon des chaînes de télévision belge.
Au mois de novembre 2009, Johnny Hallyday a subi de graves problèmes de santé survenus suite à l'opération d'une hernie discale pratiquée par Stéphane Delajoux, qui est d'ailleurs poursuivi en justice par le rockeur. Ces graves complications l'ont plongé dans de grandes souffrances et ses proches, mais aussi ses fans étaient plus que remontés. Si l'opération en elle-même n'est pas remise en cause dans le rapport des experts mandatés par la justice, ce sont les suites de cette opération et les non-dits qui sont imputables au chirurgien, toujours d'après ce rapport. Le Taulier s'était d'ailleurs longuement exprimé sur la "mise en cause" de Delajoux dans son premier interview au JDD.
Dorothée Boulanger, mère de famille de trois enfants, prend alors la défense de son idole de façon agressive sur un groupe Facebook intitulé "Delajoux droite, Delajoux gauche, frappe où tu veux", et elle tient de vifs propos à l'encontre du chirurgien. Ce dernier estime alors avoir été injurié et a décidé de faire appel à la justice.
Olivier Bogaert, spécialiste des nouvelle technologie à la police judiciaire, rappelle sur le site de RTBF.be : "C'est parce que les gens ne connaissent pas la législation ou l'ont oubliée : lorsque l'on a un profil sur internet, on est responsable des propos que l'on fait héberger sur son profil. On a quelque part la même responsabilité qu'un éditeur de journal."
Au micro d'une journaliste de RTBF, la fan dans la tourmente se justifie ainsi : "C'était l'émotion, l'inquiétude par rapport à la santé de Johnny Hallyday, comme tous les fans. [...] J'ai l'impression d'être une grande criminelle, parce que cela prend une ampleur énorme. J'entends ici que c'est du 'pénal', c'est grave, c'est juste en-dessous des assises, ce n'est quand même pas rien pour un commentaire. C'était spontané, un simple coup de gueule et voilà..."
Au mois de novembre 2009, Johnny Hallyday a subi de graves problèmes de santé survenus suite à l'opération d'une hernie discale pratiquée par Stéphane Delajoux, qui est d'ailleurs poursuivi en justice par le rockeur. Ces graves complications l'ont plongé dans de grandes souffrances et ses proches, mais aussi ses fans étaient plus que remontés. Si l'opération en elle-même n'est pas remise en cause dans le rapport des experts mandatés par la justice, ce sont les suites de cette opération et les non-dits qui sont imputables au chirurgien, toujours d'après ce rapport. Le Taulier s'était d'ailleurs longuement exprimé sur la "mise en cause" de Delajoux dans son premier interview au JDD.
Dorothée Boulanger, mère de famille de trois enfants, prend alors la défense de son idole de façon agressive sur un groupe Facebook intitulé "Delajoux droite, Delajoux gauche, frappe où tu veux", et elle tient de vifs propos à l'encontre du chirurgien. Ce dernier estime alors avoir été injurié et a décidé de faire appel à la justice.
Olivier Bogaert, spécialiste des nouvelle technologie à la police judiciaire, rappelle sur le site de RTBF.be : "C'est parce que les gens ne connaissent pas la législation ou l'ont oubliée : lorsque l'on a un profil sur internet, on est responsable des propos que l'on fait héberger sur son profil. On a quelque part la même responsabilité qu'un éditeur de journal."
Au micro d'une journaliste de RTBF, la fan dans la tourmente se justifie ainsi : "C'était l'émotion, l'inquiétude par rapport à la santé de Johnny Hallyday, comme tous les fans. [...] J'ai l'impression d'être une grande criminelle, parce que cela prend une ampleur énorme. J'entends ici que c'est du 'pénal', c'est grave, c'est juste en-dessous des assises, ce n'est quand même pas rien pour un commentaire. C'était spontané, un simple coup de gueule et voilà..."