Jeudi 5 décembre 2024, cela a fait sept ans jour pour jour que Johnny Hallyday nous a quittés. 7 longues années et pourtant, la mémoire du rockeur, qui s’est éteint à 74 ans dans sa maison de Marnes-la-Coquette (Hauts-de-Seine) - toujours en vente - des suites d’un cancer du poumon, continue d’être célébrée par ses millions de fans. Ses proches aussi ne l’oublient pas, à l'image de son petit-fils de 20 ans Cameron, aux mêmes traits que son grand-père, qui n’a pas oublié cette date si symbolique. Sur son compte Instagram, le fils de David Hallyday et Alexandra Pastor a publié une jolie photo en noir et blanc qui date de plusieurs années sur laquelle on peut le voir enfant, devant Johnny Hallyday qui lui fait un gros câlin.
De son côté, son ancienne femme, Sylvie Vartan, a dévoilé de précieux clichés de la jeunesse du rockeur sur ses réseaux sociaux, tout en ajoutant un cœur blanc ainsi qu’un cœur brisé en légende. Preuve que l’interprète de Que je t’aime est toujours dans les cœurs des Français, le 17 décembre prochain, l’esplanade Johnny Hallyday va être inaugurée au Zénith d’Auvergne en présence de Laura Smet. La fille qu’il a eue avec Nathalie Baye a accordé une interview à Paris Match dans laquelle elle revient sur la période où les deux stars vivaient ensemble dans leur hameau paisible dans la Creuse. Si certains pouvaient s’imaginer que le rockeur trouvait le temps long dans la région, ce n’était pas du tout le cas à en croire sa fille.
“Oui, ça fait bizarre de savoir Johnny Hallyday en Creuse, mais en même temps, il était vraiment très heureux”, confie Laura Smet, avant d’en dire plus sur ces années et ces moments passés dans cette région paisible : “C’était en Creuse, dans la maison de ma mère. Il y avait quelque chose d’authentique. (...) Figurez-vous qu’il était vraiment heureux là-bas parce qu’on lui foutait la paix pour une fois. Il était nature, il était pas blond poussin, il allait chez le boucher tout le temps prendre des trucs.”
De beaux moments pour l’idole des jeunes, dont un célèbre artiste a revendu un de ses biens récemment, qui échappait ainsi à la frénésie parisienne. “Il était bien, il était dans la nature… Tout le monde lui disait : ‘Il ne va pas tenir deux semaines.’ Mais il voulait toujours aller là-bas, parce qu’il se sentait bien là-bas”, résume Laura Smet.