Ce jeudi 23 janvier, l'avocate de Valérie Trierweiler s'exprimait sur le site Internet du Figaro. Frédérique Giffard revenait notamment sur la situation que vit actuellement la première dame depuis les révélations d'une supposée relation entre François Hollande et Julie Gayet. Des propos éloquents mais qui n'engagent que le conseil de la locataire temporaire de La Lanterne à Versailles et qui lui ont valu d'être remerciée...
"Elle a parlé sans savoir et sans être mandatée. Elle n'est plus mon conseil", confiait dans la foulée à Europe 1 la première dame. Des propos qui viennent appuyer ceux de Patrice Biancone, son chef de cabinet, qui rappelait sur BFM TV qu'il était "le seul mandaté au nom de Valérie Trierweiler".
Un désaveu terrible pour Me Frédérique Giffard, amie et conseil de la première dame depuis 2007, et qui avait notamment pris sa défense face à l'ouvrage La Frondeuse. Dans son entretien au Figaro, elle expliquait que François Hollande et Valérie Trierweiler "réfléchiss[ai]nt" à leur avenir : "La situation n'appartient qu'à eux. Il est très difficile pour Valérie Trierweiler d'être sereine face à cette pression médiatique et politique. Mais elle est consciente qu'une clarification s'impose."
Le président a promis lors de son allocution à la presse du 14 janvier dernier qu'il s'exprimerait avant son départ aux États-Unis prévu le 11 février prochain, afin d'éclaircir la situation. En attendant, l'avenir de Valérie Trierweiler reste flou, elle qui est restée une semaine hospitalisée à la Pitié-Salpêtrière avant de prendre la direction de la résidence versaillaise de La Lanterne pour se reposer. Valérie Trierweiler veut "en sortir dignement", indiquait encore Frédérique Giffard, expliquant que des poursuites n'étaient pas à exclure contre les différents titres de presse et leurs révélations.
Une sortie médiatique qui n'a pas plu à Valérie Trierweiler, laquelle s'est donc séparée de son conseil et amie. Plus surprenant, RTL indiquait à la suite de la publication de l'entretien que Me Frédérique Giffard s'était exprimée "sans avoir reçu la consigne" de sa cliente, quand d'autres sources soulevaient l'hypothèse selon laquelle elle aurait pu été "piégée".
Un épisode qui entretient un peu plus le flou sur la situation de Valérie Trierweiler...