Le PAF peut être impitoyable et nombreux sont ceux qui en ont fait l'expérience... Au début des années 2000, Véronique Mounier a démarré une carrière sur le petit écran et, assez rapidement, elle est devenue incontournable. Elle a notamment animé Nouveau look pour une nouvelle vie ainsi que L'Amour est dans le pré. Passée par M6, TF1, France et même Chérie 25, elle a fini par se faire plus rare au fil des années. Que vient-elle ?
L'animatrice âgée de 49 ans a repris des études en 2018 dans le but de décrocher un diplôme de praticienne en nutrithérapie et micronutrition. Sur son compte Instagram, elle dévoilait d'ailleurs en janvier 2020 la photo de la plaque du cabinet médical qu'elle occupe. En légende, elle écrivait : "Quel bonheur de revenir à mes premières amours ! [elle a un diplôme de docteure en pharmacie de la faculté de Chatenay-Malabry depuis les années 1990, NDLR]. Et oui, derrière la journaliste santé et l'animatrice de télévision, il y a toujours eu une pharmacienne (et même docteur en pharmacie s'il vous plaît !), passionnée de santé et de bien-être. Je suis fière de vous annoncer l'ouverture de mon cabinet de Nutrithérapie et Micronutrition à Boulogne Billancourt. Souhaitez-moi bonne chance pour cette nouvelle vie qui commence."
Interrogée par Télé Loisirs en décembre dernier, Véronique Mounier est revenue plus en détails sur ce changement de carrière loin du petit écran. "Il y a eu comme un déclic en 2018. En plus de l'émission Sans tabou, dont j'appréciais vraiment réaliser les interviews d'après reportages, je devais mener pour la rentrée sur Chérie 25 une émission médicale que je préparais depuis des mois. Et elle me tenait à coeur. L'émission est tombée à l'eau malgré un contrat. Mon père était décédé la même année, j'ai vu ça comme des signes... Mais ça me trottait dans la tête depuis plusieurs saisons", a-t-elle assuré.
En quittant le petit écran, l'animatrice a aussi logiquement perdu de l'argent car la télé reste un univers qui paye bien. Mais elle a trouvé la parade. "J'ai gardé mes activités journalistiques mais plus à la télé. Je fais des compte rendus de congrès, ça me permet en plus du côté financier de me maintenir à niveau côté médecine alopathique. Au début, ça a été difficile mais j'ai la chance d'avoir eu assez vite des consultations", a-t-elle ajouté, visiblement très épanouie.