![Vincent Lagaf' sur le tournage de l'émission Boom! sur TF1.](https://static1.purepeople.com/articles/4/16/34/04/@/1896976-vincent-lagaf-sur-le-tournage-de-580x0-2.jpg)
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Actuellement en vacances à Saint-Tropez, Vincent Lagaf' peut désormais profiter quelques semaines de repos bien mérité après une saison faite de hauts et de bas. Outre le retour du Juste Prix dans une nouvelle formule qui n'a pas trouvé son public, l'animateur survolté de la Une tournait, juste il y a quelques semaines, les vingt numéros de son nouveau jeu Boom! qui seront diffusés du lundi 10 août au vendredi 4 septembre à 19h05 sur TF1.
Vincent Lagaf' a accordé un entretien à nos confrères de Télé-Star, dans le numéro à paraître le lundi 3 août. Il s'étend sur ses difficultés de communication avec TF1, et notamment sur la mauvaise habitude qu'a la chaîne d'user les concepts jusqu'à la moelle. "(Avec TF1), parfois on se comprend, parfois on se comprend moins, mais on se respecte. En 2003, je voulais arrêter Le Bigdil. On ne m'a pas écouté, on m'a pressé le citron. Résultat : ça s'est cassé la gueule un an plus tard", se souvient-il. Onze ans plus tard, bis repetita quand la chaîne choisit d'imposer à Lagaf' le tournage d'une nouvelle salve d'émissions du Juste Prix. "Au bout de 500 émissions, j'en ai eu marre. On a arrêté. Quelques mois plus tard, on m'a demandé de refaire une saison. Je n'aurais pas dû. Je ne referai pas Le Juste Prix. Quand on voit les multiples offres de jeux à la télévision, on s'aperçoit que celui-là est un peu obsolète", reconnaît-il au sujet de l'advergame le plus célèbre de la télévision.
Adapté du format israélien du même nom, Boom! met les nerfs des candidats à rude épreuve. Les candidats, qui jouent en équipe, sont invités à répondre à des questions de culture générale. Chaque choix de réponse correspond au fil d'une bombe : en coupant les trois fils électriques correspondant aux trois mauvaises réponses, ils désactiveront la bombe et grimperont dans la pyramide de gains. En cas d'erreur, la bombe explosera, propulsant des jets de peinture sur les candidats. A la clé pour les plus audacieux : 80 000 euros !
Joachim Ohnona