Voilà une nouvelle à laquelle personne ne s'attendait ! Dans une vidéo postée sur sa chaîne Youtube AJA, Sam Zirah a recueilli les confidences de Vincent Shogun, ex-star de télé-réalité révélée dans Les Ch'tis. Et ce dernier a fait une grande révélation : il est papa d'un enfant de 3 ans.
Le jeune homme qui a rencontré beaucoup de problèmes liés à la drogue ne fait cependant pas parti de la vie du petit bonhomme qu'il ne désirait pas avoir. "Il y a très longtemps, j'étais en soirée et voilà, je ne me suis pas protégé. On m'a fait un enfant, et je n'ai pas eu le choix de le garder", a-t-il partagé. Ainsi, Vincent Cohen Szewczyk n'a pas le sentiment d'être un père. "Pour moi, je ne suis pas papa", a-t-il déclaré.
Tu m'avait dit que tu serais toujours là pour moi et pour lui
Au cours de cette interview, Sam Zirah a dévoilé à son invité une vidéo de la maman de son fils, une certaine Marine, qui lui a adressé un long message : "Je ne t'en ai jamais voulu, tu n'en voulais pas et voulais que j'avorte mais moi non. Tu avais fini par accepter et m'avais dit que tu serais toujours là pour moi et pour lui. Une promesse qui n'a jamais été tenue. Mais je ne t'en ai jamais voulu. Par contre, je t'en ai voulu lorsque le petit avait 3 mois et que tu me disais que tu allais venir le voir". Là encore, Vincent Shogun n'aurait pas tenu parole. Elle conclut son message en lui assurant néanmoins qu'elle sera toujours d'accord pour qu'il rencontre un jour son enfant.
Face à ces révélations, le célèbre Ch'tis s'est attiré les foudres des internautes, lesquels n'ont pas accepté qu'il délaisse son fils. Alors, en story Instagram, il a décidé de faire une mise au point, afin de calmer les ardeurs. "Je ne dirais qu'un mot : ne jugez personne. Vous n'êtes pas à nos places pour vous le permettre. Chacun est heureux dans sa vie, et surtout on respecte nos décisions même si pendant très longtemps j'ai souffert de cette imposition et je me suis senti pris au piège", a-t-il écrit. Et de continuer : "On n'impose pas la paternité à qui que ce soit surtout lorsqu'on fait confiance à son/sa partenaire sexuellement parlant. Elle prenait la pilule, nous ne nous sommes pas protégés. Ensuite, elle a décidé toute seule de garder cet enfant en sachant que je ne le voulais pas, qu'il n'était pas désiré, né à la suite d'une soirée, j'étais complètement défoncé, je sortais de prison, je l'ai vécu comme un enfant dans le dos". Il termine son message en assurant qu'aujourd'hui, "tout est pardonné" et que "chacun est heureux de son côté".