En entrant sur le court ce lundi 23 juin, Andy Murray n'était pas franchement serein. L'Écossais s'apprêtait à débuter son parcours sur le gazon londonien de Wimbledon et à défendre son titre historique décroché l'an passé. Le tout sous les yeux de sa belle Kim Sears.
"J'étais un peu nerveux au début. Il y a eu plus d'applaudissements que d'habitude, c'était spécial. Mais une fois assis sur ma chaise, je me suis concentré sur ce nouveau tournoi qui commence", a confié Andy Murray à l'issue de son match face au Belge David Goffin (6-1, 6-4 et 7-5). Une standing-ovation plus tard, le champion en titre retrouvait le rythme, pour le plus grand plaisir de sa coach Amélie Mauresmo.
Dans les tribunes, sa sublime compagne et probable future madame Andy Murray, Kim Sears, pouvait apprécier. L'an passé, en finale du tournoi, elle n'avait pu retenir quelques larmes lors de la victoire de son homme. Cette fois-ci, on a vu la jolie blonde passer par tous les états. D'abord heureuse et émue au moment de l'ovation du public, puis étonné par le niveau de jeu affiché par Andy Murray, anxieuse lors du dernier set lorsque le Belge passa tout près du break, puis soulagée lors de la balle de match.
La belle jeune femme que l'on voit régulièrement dans les tribunes aura ainsi pu constater que la collaboration entre l'Écossais et Amélie Mauresmo porte ses fruits, alors même que la presse britannique se posait quelques questions quant à leur fonctionnement et l'apport de la Française au champion. Une première réponse a donc été apportée.
La première journée de Wimbledon a également permis à Novak Djokovic, de retour de son fol enterrement de vie de garçon, de croiser une Maria Sharapova détendue et amoureuse quelques semaines après sa victoire sur la terre rouge de Roland-Garros. Le duo s'est claqué la bise comme deux bons amis, avant un entraînement pour la Russe, qui cette fois avait passé son ensemble sportif, loin de sa petite robe blanche sublimant sa silhouette athlétique lors du dîner de la WTA pré-Wimbledon.
Wimbledon a ouvert ses portes, et la quinzaine du blanc bat son plein...