"Elle avait tellement maigri..." : Victoria de Suède touchée par un trouble destructeur, la princesse a dû lutter pour s'en sortir

Princesse héritière de Suède, Victoria a été victime de troubles alimentaires graves lorsqu'elle était plus jeune. Atteinte d'anorexie mentale, la femme de Daniel de Suède a été littéralement obsédée par son poids à tel point que sa santé avait beaucoup inquiété ses proches. Selon nos confrères de Point de Vue qui ont fait un reportage sur la santé mentale des altesses royales, paru en octobre 2022, Victoria de Suède a été anorexique lorsqu'elle avait 20 ans.

Ainsi en seulement une année, la maman d'Estelle et d'Oscar a perdu plus de vingt kilos. "Aucun chiffre n'a jamais été publié mais il semble qu'au tournant de l'année 1995-1996, Victoria pesait environ 70kg" révèle Herman Lindqvist, son biographe rappelant que la Princesse mesure plus d'1m70, "son poids était alors on-ne-peut-plus correct". Mais en très peu de temps, Victoria se met à perdre de nombreux kilos car elle était devenue "complexée par sa silhouette".

"La jeune femme de 19 ans décide de perdre du poids. Fière de ses progrès 'rapides', grisée par le contrôle qu'elle exerce enfin sur son corps, la fille du roi Carl XVI Gustaf n'en finit plus de se priver, avec un objectif clair, mincir, mincir encore et à tout prix. Vers la mi-septembre [1997], elle avait tellement maigri que ses vêtements ne tombaient plus correctement", indiquent nos confrères du magazine Point de Vue.

Résultat ? À la fin de l'année 1997, la Princesse Victoria de Suède "pèse moins de 50 kg" pour 1m70. "Ce qui correspond, vu sa grande taille, à un indice de masse corporelle d'environ 17 kg/m2, soit une insuffisance pondérale (ou maigreur)" ajoutent nos confrères de Santé Magazine. Finalement, l'héritière au trône est prise en charge par des spécialistes de l'anorexie à New-York et parvient à s'en sortir.

Interviewée sur ce trouble dont elle a été victime, Victoria de Suède en avait dit un peu plus sur son traitement indiquant au journaliste suédois Björn Carlgrens qu'il n'existait pas "de remèdes miracles, de médicaments spécifiques pour guérir", et que "le soutien moral de ses proches" avait été son meilleur remède.