50' Inside a dressé le portrait de Jeff Panacloc samedi 18 février 2023 sur TF1. Interrogé sur sa vie personnelle et professionnelle, le ventriloque s'est confié à coeur ouvert sur la passion qui est devenue son métier. Un moment bouleversant, surtout lorsque Nikos Aliagas lui a montré un photo de lui enfant : "J'ai l'impression que c'est un mix de vos deux enfants. C'est vous gamin", a déclaré le présentateur de la Star Academy. Un souvenir qui a ému aux larmes le ventriloque, qui lui a répondu la voix tremblante : "Vous me faites partir loin, là...". Pour cause, le cliché en question le ramène tout droit vers cette période de sa vie où il rêvait de rencontrer le succès grâce à sa passion. Aujourd'hui, c'est chose faite, et l'artiste regarde le chemin qu'il a parcouru avec beaucoup d'émotion : "On est en Normandie, chez ma grand-mère, sur la plage, là où je passais toutes mes vacances. Et on espère... Que je serai là avec vous un jour." Un exemple de persévérance et de confiance dans l'avenir qui a eu de quoi toucher les téléspectateurs.
"Qu'est-ce que vous voudriez lui dire à ce gamin ?" a demandé Nikos Aliagas à son invité. Et Jeff Panacloc de répondre : "Qu'est-ce que je vais lui dire à ce gamin-là ? Je vais lui dire 'Continue à faire ça, continue à jouer et tu vas jouer toute ta vie et ça va marcher', voilà. Et ça va marcher...". Un message positif d'espoir et d'incitation à la confiance en soi, qui résonnera probablement auprès de nombreux jeunes qui rêvent de scène. Cette confiance en lui, le papa de Rose et Alice aurait voulu l'avoir bien plus tôt, car s'il a toujours cru en ses rêves, "ça n'a pas été facile tous les jours" pour le jeune ventriloque. En effet, s'il rencontre un franc succès sur scène depuis plus de dix ans et présentera bientôt son nouveau spectacle, l'ex compagnon de Charlotte de Hugo n'a pas toujours été sous le feu des projecteurs. En effet, le 8 janvier dernier dans Un dimanche à la campagne, l'artiste de 36 ans s'était confié à Frédéric Lopez sur son adolescence difficile, durant laquelle il était esseulé car pas comme les autres : "Au collège, j'avais vraiment l'impression d'être à part. Je n'étais visiblement pas intéressant. Mes passions n'intéressaient pas les autres. J'étais un peu le cassos de service", avait déclaré celui qui remplit aujourd'hui les salles de spectacles. Un parcours du combattant qui a fini par payer.