Marion Maréchal est partout. Ce lundi 6 novembre, la tête de liste de Reconquête ! a présenté le lancement d'un "comité national pour un référendum sur l'immigration", en vue de mettre en place l'organisation d'un Référendum d'initiative partagée. Alors qu'elle a été l'invitée d'Apolline de Malherbe ce mardi 7 novembre, c'est l'occasion de revenir sur un pan de sa vie plus méconnu. Maman de deux enfants, Olympe (9 ans) – fruit d'une première union avec Matthieu Décosse – et Clotilde (1 an et demi), sa fille avec son mari l'homme politique italien Vincenzo Sofo, la nièce de Marine Le Pen a aussi connu une histoire d'amour avec un homme qui s'est donné la mort. C'est ce que la politique de 33 ans a révélé à Valeurs Actuelles, à la fin du mois d'octobre dernier.
La candidate aux élections européennes dans huit mois a beau ne pas être adepte des confidences sur sa vie privée, elle a fait une rare exception ce jour-là. Dans une interview vidéo à la chaîne YouTube du magazine Valeurs Actuelles le 29 octobre dernier, Marion Maréchal a expliqué les raisons de son départ en 2017, lorsqu'elle a pris la décision de se retirer de la vie politique. À cette époque, la jeune femme est trop prise par son emploi du temps et n'arrive plus à voir ses amis. Elle avoue vivre alors un moment des plus difficiles, un de ses amours de jeunesse s'est donné la mort. "Je devais le voir et je ne l'ai pas vu. Parce que je n'ai pas pris le temps...", admet-elle. Une douleur amère et ancrée qui lui permet néanmoins de savoir à quel point se concentrer sur sa vie de famille est important.
Durant cet entretien, Marion Maréchal Le Pen a évoqué sa famille, son clan, notamment ses filles Olympe et Clotilde. Elle a pris la décision pour elle de les mettre dans une "école privée".
"L'école privée est payante, donc c'est très injuste pour les Français qui n'auraient pas les moyens. Mais je veux que mes filles sachent lire, écrire, compter, qu'elles connaissent leur histoire, je ne veux pas qu'elles soient victimes de toutes les propagandes woke et LGBT qui sévissent à l'école, je ne veux pas qu'on leur explique qu'elles sont racistes parce que leur père est contre l'accueil des migrants clandestins", a-t-elle fait savoir à propos de cette décision pour l'avenir de ses deux filles. N'épargnant pas l'éducation nationale.