![](https://static1.purepeople.com/articles/9/52/47/09/@/7731963-virginie-efira-s-est-confiee-sur-son-deu-580x326-4.jpg)
![Virginie Efira s'est confiée sur son deuxième enfant, Hiro.
Virginie Efira sur le tapis rouge de la cérémonie de clôture du 38ème festival du film de Cabourg, France. © Coadic Guirec/Bestimage](https://static1.purepeople.com/articles/9/52/47/09/@/7731963-virginie-efira-s-est-confiee-sur-son-deu-100x90-4.jpg)
![Et notamment sur la naissance, qu'elle a mieux vécu que pour son premier enfant.
Virginie Efira - Montée des marches du film " Les Linceuls " lors du 77ème Festival International du Film de Cannes, au Palais des Festivals à Cannes. Le 20 mai 2024 © Jacovides-Moreau / Bestimage](https://static1.purepeople.com/articles/9/52/47/09/@/7731969-et-notamment-sur-la-naissance-qu-elle-a-100x90-3.jpg)
![Son fils Hiro est né de sa relation avec son compagnon Niels Schneider.
Niels Schneider et sa compagne Virginie Efira - Photocall du défilé Saint Laurent Womenswear Printemps/été 2024 dans le cadre de la Fashion week de Paris le 26 septembre 2023 à Paris. © Olivier Borde/Bestimage](https://static1.purepeople.com/articles/9/52/47/09/@/7731980-son-fils-hiro-est-ne-de-sa-relation-avec-100x90-3.jpg)
![Et ils ont l'air d'être très heureux dans leur rôle de parents du petit Hiro.
Niels Schneider, Virginie Efira au photocall du défilé Saint Laurent collection femme automne/hiver 2024-2025 lors de la fashion week à Paris (PFW) le 27 février 2024. © Olivier Borde / Bestimage](https://static1.purepeople.com/articles/9/52/47/09/@/7731978-et-ils-ont-l-air-d-etre-tres-heureux-dan-100x90-3.jpg)
![En tout cas, Virgine Efira est ue femme épanouie.
Virginie Efira sur le tapis rouge de la cérémonie de clôture du 38ème festival du film de Cabourg, France, le 15 juin 2024. Les Journées romantiques du 38ème Festival du film de Cabourg (Calvados) auront lieu du 12 au 16 juin. © Coadic Guirec/Bestimage](https://static1.purepeople.com/articles/9/52/47/09/@/7731964-en-tout-cas-virgine-efira-est-ue-femme-100x90-3.jpg)
![Purepeople](/build/pp_fr/logo_brand_ads.0d8e500d.png)
Le 28 août dernier, sa vie a changé : déjà maman d'Ali, née en 2013, Virginie Efira a accueilli Hiro, son deuxième enfant, né de sa relation avec son compagnon Niels Schneider. Une arrivée inattendue pour l'actrice qui avait "un peu la trouille" d'être à nouveau maman à 46 ans mais qui l'emplit finalement d'un bonheur immense, comme elle l'a confié à nos confrères de Marie-Claire dans une longue interview, à qui elle a cependant expliqué que les sensations étaient très différentes de celles ressenties après sa première grossesse.
"C'est extrêmement différent, parce qu'on n'est pas au même endroit de compréhension de soi, de rapport au monde, ce n'est pas le même père [le père de sa petite Ali est le réalisateur Mabrouk El Mechri, ndlr]... La première fois, on 'tombe' en maternité", a-t-elle notamment expliqué, avant d'avouer que les choses n'avaient pas été simples à l'époque : "C'est la découverte de la fin d'une insouciance et d'une mobilité. Et tout ça arrive en même temps que l'amour inconditionnel, vital, nécessaire ; mais aussi avec cette immense responsabilité, jumelée à de l'inquiétude. Je me souviens que j'étais perdue".
Cherchant à ne pas couper avec son ancienne vie, l'actrice avait mis du temps à trouver un équilibre : "Je ne parvenais plus à me construire que par rapport à ce que j'imaginais que les autres attendaient de moi. Je voulais montrer que je n'avais pas bougé, que j'avais toujours le même rapport à la fête. J'avais tout le temps peur de louper n'importe quel moment de l'existence. Avoir un enfant t'apprend aussi que c'est où tu es que quelque chose se passe", explique-t-elle aujourd'hui.
Et pour la naissance d'Hiro, pas question pour elle de dissimuler ses périodes de doute ou plus compliquées : "A l'époque, on m'avait moins dit – ou j'avais moins accès à l'idée – qu'on pouvait ne pas se sentir trop bien après la naissance. Dès que quelque chose n'allait pas, j'éprouvais une culpabilité. Aujourd'hui, on a beaucoup plus conscience de cette notion – le spleen post-natal, etc...", détaille la quadragénaire, qui peut aussi beaucoup compter sur son compagnon : "Il n'y a pas d'impératif indiqué, d'injonction au bonheur transi de la mère. Même le papa était prévenu de cette possibilité-là. Le sentiment d'être deux parents à parts égales est super".
![Niels Schneider et sa compagne Virginie Efira - Photocall au Fouquet's après la 48ème cérémonie des César à Paris © Coadic Guirec / Bestimage](https://static1.purepeople.com/articles/9/52/47/09/@/7731982-niels-schneider-et-sa-compagne-virginie-580x0-2.jpg)
Heureuse, elle a même été sereine à l'idée de quitter le cinéma quelques mois : "Un bébé c'est l'arrivée de quelque chose de neuf qui rejaillit sur tout le monde dans une famille. J'ai vécu cette période intensément, joyeusement, dans une temporalité complètement distendue. Je me suis rendue compte que c'était peut-être plus agréable aussi pour les gens avec qui je vis, parce qu'apparemment, il y avait une espèce de nervosité de ma part dans l'air... Ca a favorisé d'autres moments amoureux, d'autres complicités avec mes enfants. Une manière nouvelle, tout simplement, de fréquenter sa ville et son quartier, de découvrir les lieux".
Et toute la famille arrive même à prendre des vacances, un sujet quasi incompréhensible pour l'actrice il y a encore quelques années : "Maintenant j'arrive à profiter totalement. C'est un sentiment neuf, un peu exotique pour moi. Avant, je me disais : 'Qu'est ce que c'est que cette idée de vacances, où il faut prendre des sac prendre des trains, oublier des trucs, s'engueuler et risquer en plus d'être déçue par le lieu ?' Je voulais ça comme une suite de gesticulations dont je me plaignais, et que je refaisais pourtant systématiquement !", raconte-t-elle avec humour, avant de prouver qu'elle a bien changé : "Aujourd'hui, dans cet équilibre familial nouveau qui est trouvé – un trois qui devient quatre - il y a des nouvelles choses à faire ensemble. Le week-end dernier, par exemple, on était au Trampoline Park et, devinez quoi, c'était chouette ! Qui m'aurait dit un jour : 'Tu vas aller là, dans ce summum de l'horreur, et ça va être agréable !'", lance-t-elle. Consciente du temps qui passe, elle profite... et elle a totalement raison !