Après des années de bonheur et deux petits garçons, Shakira et Gerard Piqué se sont séparés. Sur fond d'infidélité, le couple a mis un terme à sa relation. Et les règlements de comptes vont bon train. En effet, la chanteuse a sorti un titre dans lequel elle atomise son ex et sa nouvelle compagne, Clara Chia. Interrogée vendredi 10 mars 2023 dans l'émission Tonight Show Starring Jimmy Fallon, l'artiste colombienne est revenue sur cette période compliquée. "J'ai eu une année très difficile après ma séparation, et écrire cette chanson a été très important pour moi. C'est un moyen sain de canaliser mes émotions [...] J'ai une communauté de femmes qui a vécu les mêmes choses que moi, qui pense comme moi, qui ressent ce que je ressens, qui a dû supporter tant de conneries comme moi", lâche-t-elle.
J'ai aussi le sentiment qu'elle était destinée à tant de femmes qui avaient besoin d'une tribune
Pour Shakira, se livrer en chanson a été une forme de catharsis et un moyen de passer un message important. "J'ai écrit cette chanson pour moi, mais j'ai aussi le sentiment qu'elle était destinée à tant de femmes qui avaient besoin d'une tribune et d'une voix pour les représenter à bien des égards". Ce n'est pas la première fois que la chanteuse se confie sur cette séparation. Au cours d'une entrevue avec ELLE, la mère de famille s'est livrée sur cette rupture. "Je peux seulement dire que j'ai mis tout ce que j'avais dans cette relation et ma famille. J'ai mis ma carrière en second plan et je suis venue en Espagne, pour le soutenir afin qu'il puisse jouer au football".
Selon ses dires, elle a tout fait pour faire durer sa relation avec Gerard Piqué. "C'était un sacrifice d'amour. J'ai essayé de cacher cette situation devant mes enfants. J'essaie de les protéger, car c'est ma priorité dans la vie. Ils entendent des choses à l'école de la part de leurs amis ou ils tombent sur des nouvelles désagréables en ligne, et ça les affecte. J'ai l'impression que tout cela n'est qu'un mauvais rêve et que je vais me réveiller à un moment donné. Mais non, c'est réel".